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Lorsqu´ils ont été au pouvoir, les successeurs du général de Gaulle, ses héritiers comme ses opposants, ont servi notre pays en se servant aussi de plus en plus largement, du sommet de l´Etat jusqu´à nos grosses communes.
Les gaspillages d´argent public, le train de vie excessif, la démagogie d´élus cumulards et toujours candidats à leur réélection, le clientélisme, la corruption parfois, les déficits chaque année renouvelés, ont amené la crise financière, économique et morale que nous connaissons maintenant.
Cette crise est certes mondiale comme le soulignent nos dirigeants pour se défausser ! Mais que font-ils pour y remédier ?
« L´Etat est en faillite », avait dit François Fillon en 2007. « Les caisses sont vides », avait ensuite corrigé Nicolas Sarkozy.
Nos élus, comme leurs prédécesseurs, continuent à dépenser largement, à discourir comme avant, sans parler de l´énorme dette que devront rembourser leurs successeurs, et surtout nos enfants par leurs impôts et par des conditions de vie plus difficiles que maintenant.
Quand on a trop longtemps vécu au-dessus de ses moyens et qu´on est surendetté, on se serre la ceinture ! C´est du bon sens populaire et c´est ce qu´écrivait déjà Claude Gouigoux dans son précédent livre.
Comme dans une entreprise qui va mal, il faut « serrer les boulons » à tous les niveaux, et « se serrer la ceinture » pour le train de vie, jusqu´au redressement des finances.
Pour être forte et crédible, une nation, comme une entreprise, doit être saine financièrement.
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