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Pierre Jourde : Mettre en scène la prégnance de choses anciennes, les morts, les souvenirs, tout ce qui est de l'ordre du fané, du désuet, du décomposé. La force de ce qui n'est pas, mais qui par-delà le ridicule s'impose à nous. Cela prend à chaque fois la forme d'une danse (rock, rumba, valse), parce que la poésie est musique. Alors pourquoi ne serait-elle pas dansante ? On valserait sur elle, avec le fantôme des choses mortes.
La sonorité est cacophonique, chocs de sonorités, constructions bancales, argot, comme si l'orchestre populaire de ce bastringue jouait des couacs. Ça sonne comme Rain Dogs de Tom Waits. Il y a aussi, un peu comme sur les partitions d'Erik Satie, des indications d'exécution, de petites formules en marge qui ont pour fonction de donner une inflexion, d'appuyer la loufoquerie triste du propos. Orchestré par Pierre Jourde, le recueil est interprété par Pierre Jourde, qui en est un autre, et qui fait chalouper les images comme Mimile fait chauffer le baloche.
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