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Trois ans avec François, l'imposture bergoglienne

Couverture du livre « Trois ans avec François, l'imposture bergoglienne » de Miles Christi aux éditions Saint-remi
  • Date de parution :
  • Editeur : Saint-remi
  • EAN : 9782816203318
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Lorsque le 13 mars 2013 François s'adressa pour la première fois à la foule, dépourvu des ornements liturgiques pontificaux, il donna quelques signes avant-coureurs de ce qui allait se produire par la suite. Il y eut d'abord son étonnant buona sera!, salutation profane, inouïe dans la bouche... Voir plus

Lorsque le 13 mars 2013 François s'adressa pour la première fois à la foule, dépourvu des ornements liturgiques pontificaux, il donna quelques signes avant-coureurs de ce qui allait se produire par la suite. Il y eut d'abord son étonnant buona sera!, salutation profane, inouïe dans la bouche d'un Souverain Pontife, et qui laissait transparaître sa volonté de désacralisation du ministère pétrinien. Cette impression fut confirmée lorsqu'il se prosterna devant la foule, lui demandant de prier pour sa personne avant de la bénir, endossant ainsi implicitement le principe révolutionnaire de la souveraineté populaire. Trois jours plus tard, il renouvela sa profession de foi humaniste en donnant une « bénédiction silencieuse » aux représentants des medias présents dans la Salle Paul VI du Vatican, prétextant qu'ils n'étaient pas tous catholiques ou croyants, et qu'il se devait de « respecter la conscience de chacun ». Le décor était déjà largement planté. La suite des évènements n'a fait que confirmer la portée symbolique de ces gestes précurseurs, posés en guise de manifeste idéologique et de programme d'action. Ce modeste recueil d'articles ne prétend pas à l'exhaustivité, étant donné le caractère intarissable de son « magistère médiatique », qu'il utilise pour semer systématiquement la confusion partout où il va, fort du prestige que lui confère son investiture pontificale. Car il est vrai que l'occupant de la Maison Sainte-Marthe porte « deux cornes semblables à celles d'un agneau » (Ap. 13, 11). Mais son langage, force est de le constater, n'est autre que celui du dragon.

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