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Les noyaux suprachiasmatiques (SCN) des mammifères sont le siège de l'horloge circadienne. L'objectif de la thèse a été de mettre en évidence que les SCN jouent un rôle dans les rythmes saisonniers et de déterminer comment ces signaux sont décodés par la Pars tuberalis (PT). Dans les SCN, nous montrons que l'expression de gènes (horloges et de sortie de l'horloge) dépend de la photopériode. La chronologie de ces modifications montre que les SCN intègrent le changement de photopériode, et qu'ils construisent des messages saisonniers. De plus, le gène Clock semble particulièrement important dans ce fonctionnement saisonnier, y compris au cours de la "photopériode réfractaire". Dans la PT, nous montrons que l'expression des gènes horloges dépend de la photopériode sous le contrôle de la mélatonine qui active l'expression de Cry1 et inhibe celle des autres gènes horloges. A court terme, il apparaît, sauf pour Cry1, que la mélatonine n'est pas nécessaire à l'expression des gènes horloges.
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