80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Hugo Lohan-Sthal entre en poésie le coeur palpitant, repentant, tendu entre les orbites de l'obscurité et les yeux de la lumière. Les braises de l'enfer se changent en fleurs à mesure que se crée le poème et s'ouvre en son royaume l'Eden qu'il fixe. Il passe le dernier pont fleuri de roses et de bleuets tandis que le tohu-bohu des mots qui s'entrechoquent devient musique. Et le poème l'emporte dans l'altitude où il l'appelle, arraché avec lui à la pesanteur. Sa voix personnelle le guide en le tirant des ombres. Son regard, son vrai regard renaît et son coeur parle du tréfonds de son être.
Dans le Théâtre des songes, il a ajusté les mouvements de son esprit aux exigences de l'expression poétique, projetant dans le miroir du texte les rêves et les secrets, l'amour et ses réfractions, la noirceur des angoisses, cherchant non l'autrefois, mais un arc-en-ciel d'espoir au-delà des digues et des ténèbres quand la Nuit lui parle par énigme.
Il déclare lui-même : «Ma poésie traduit ce que je ressens.
Elle dit mon tréfonds, absorbe mon vécu. Être épris de poésie révèle la personne, l'engage jusqu'en ses extrémités spirituelles. Elle peut sublimer comme perdre en ruinant l'idéal recherché, car il n'y a pas de poésie qui n'aille avec une exigence de perfection. »
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année