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Tout au long des poèmes, on suit l’errance du poète en mettant nos pas dans les siens « dans l’argile encore fraîche qui m’a lié au chemin ». Ainsi on découvre son univers dans une nature évoquant la vie et la mort
« Quelques pas hors de moi
Jusqu’à toucher la haie »
Le cheminement mène à l’écriture
« Alors j’écris/dans le bois/ avec ce cri d’oiseau »
L’écriture peut être une forme de résistance, c’est aussi un lien pour aller vers l’autre
« J’écris comme si je résistais/ comme un petit serpent. »
Le poète s’interroge aussi sur le rôle de la langue, il questionne aussi bien les mots que la vie
« En quelle langue aura été ce que nous avons écouté ? »
Il parle de son écriture, mise au service de la poésie, un corps à corps éperdu avec la parole, labourée, retournée dans cette urgence de dire l’instant présent.
« Quant à mon écriture : c’est une roue qui passe, une brouette de terre. Le reste est dans ma main. Avec la sueur. »
C’est une poésie élégiaque et intimiste, avec une richesse d’expression parfois mystérieuse.
L’écriture est épurée, dans une langue dépouillée de tout artifice. Même si je n’ai pas toujours saisi le sens du poème, je me suis laissée bercer par le rythme, comme si je marchais aux côtés du poète.
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