80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Les tableaux d'Iran de Pauline Alioua et de Chris Garvi, bordés de gris intrigants et de couleurs veloutées, sont d'un calme tout iranien : silence feutré en son coeur désertique, murmures urbains, échos assourdis sur le bord d'une mer si peu visitée, joie discrète des enfants, solitude dans l'attente d'un bus, silhouette furtive dans une venelle... L'absence de toponymie ne nous égare pas. En réponse au réel de leurs découvertes en argentique s'ouvre tout un pan insoupçonné de notre Imaginaire.
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