80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« Écrivaine en résidence », telle qu'elle se définit elle-même, voire en « résilience », Marie Flore Domond part du réel concret pour se construire un monde à la dimension de ses rêves les plus fous. « Résilience », car sa poésie se caractérise par une résistance aux ondes de chocs, surtout quand le mot pris comme matériau, se rétracte sous l'emprise des tabous. Dès lors, elle s'élance à contre-courant des conventions, érigées en bornes limitrophes, pour s'extasier et dire tout haut ce que d'autres femmes pensent tout bas. De stances en transes, ses ébats amoureux, vécus avec l'intensité d'une passion débridée, se font promesses violées et sentences posées, à coups de remontrances et de semonces à peine voilées. Ainsi, dans « Coeur blessé », sa plume, trempée dans du vitriol, crache toute son amertume. Elle ne se pose ni en victime expiatoire, ni en résignée, mais en âme forte.
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