80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« ... il crée de toutes pièces, à contre-courant du monde et de sa cruauté, une situation dans laquelle un enfant existe, fût-il déjà mort. Pour que nous-mêmes sortions du noir de cette atroce histoire, de ce « trou noir » de l'histoire ».
Ce texte de Georges Didi-Huberman est une longue lettre au réalisateur László Nemes du film, Le Fils de Saul, Grand Prix du Festival de Cannes.
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