80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
" on m'appelle soda, mais mon vrai nom, c'est solomon.
David elliot hanneth solomon. si elle savait, ma mère vous dirait sans doute que je suis policier, mais à new york, il n'y a pas de policier, juste des flics. de toute façon, elle ne sait pas, ça l'inquiéterait, elle m'a toujours cru pasteur... depuis l'an dernier, elle habite avec moi : elle ne sort jamais et ne lit pas les journaux qui sont pleins de violence. c'est pas plus mal : les types que j'arrête sont parfois un peu morts...
"
Un bon Soda, frais et pleins de bulles pétillantes...
L'album est dynamique, le suspense est plutôt bien troussé, le "bad / ugly / rotten" cop est vraiment crédible, et on tremble pour le pasteur David Solomon. D'autant que son buddy cop, l'agent Benvenuto Balesteros Junior fait les frais des méfaits du ripou Danny E. Clearwater. Il succombe à ses blessures au terme d'un coma prolongé.
J'avais été moins convaincu par les albums précédents, celui-ci me réconcilie avec la série. De plus, le dessin semble plus fluide, plus lisible. Beau travail. :)
A bientôt pour les prochaines aventures.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année