Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Dans une première partie, nous continuons de suivre quelques enfants de l'aurore qui continue de grandir, chacun avec leurs problèmes familiaux liés à leur différence.
J'ai trouvé cette partie lourde à suivre à cause de ses nombreux aller retour d'un enfant à l'autre, d'un pays à un autre, d'une année à une autre. Contrairement au tome 1, cette première moitié est riche en dialogue, très bavarde, mais pour autant nous n'apprenons rien de plus.
Puis arrive la 21ème année.
Et là, la fracture est violente comme un coup de hache. La purge est en route, délire graphique à grand renfort d'hémoglobine, l'ultra violence domine, gratuitement.
Une sorte d'ordre 66 pour ceux qui ont la référence.
Du coup, difficile de dire si c'est bien ou pas. C'est beau, ça c'est sûr, mais en 2 tomes (sur 4) le scénario a du mal à être clair, et stagne un peu.
Donc à suivre...
Dès les premières pages, le ton est donné. C'est sombre, violent et très sanglant. Ici, ce sont les enfants les plus menaçants. Ce qui peut rebuter certains, au vue de la violence graphique des scènes. Je peux le comprendre. Mais ça ne me dérange pas.
Nous voila donc embarqué dans une histoire fantastique et horrifique, à travers le monde. Nous suivons plusieurs enfants. Certains semblent avoir des pouvoirs. En dehors de leur extrême intelligence, ils ont en commun leur colère qui effraie les adultes.
De leur naissance à leur onzième année, à travers des ellipses afin de raconter des moments clés de leur enfance, la toile de fond se tisse et réunis certains de ces enfants prodiges.
Mais nous n'en saurons pas plus pour l'instant. Les bases sont posées, reste à savoir comment va etre développé cette histoire qui emprunte au cinéma de Carpenter et aux romans de stephen king.
J’avais bien apprécié la nouvelle de Liu Cixin lue il y a quelques mois et la représentation des propulseurs sur la couverture m’a donné très envie de me plonger dans cette BD !
Christophe Bec et Stefano Raffaele ont talentueusement brodé sur cette histoire pour l’étoffer et en faire un roman graphique qui n’a pas perdu de vue l’idée initiale. J’ai un peu moins aimé les dessins des visages qui semblaient parfois un peu figés mais ce qui concerne les paysages extérieurs ou souterrains donnent une très bonne idée du gigantisme recherché.
La Terre est devenue un vaisseau spatial qui va voyager pendant 2500 années ! Le fait que toutes ces idées soient totalement incompatibles avec la science, la physique ou autre discipline m’est absolument indifférent alors que j’ai vu des lecteurs s’offusquer du manque de sérieux de l’auteur !
Un très bon moment de lecture où le texte n’a pas été, pour moi, le plus important !
#LesFutursdeLiuCixinLaterrevagabonde #NetGalleyFrance
Suite et fin de la plus grande fessée que l’homme se prend dans toute son histoire. Le récit est très sombre comme le dénouement. Non, il n’y a pas de virus qui permet de… non, il n’y a pas de héros qui sait comment faire… C’est la fin, la fin la plus simple, la plus brutale, et la plus méritée.
Le récit est catastrophique, on finit vraiment sur l’album de trop, qui n’amène rien, ne sert à rien. Les auteurs font du remplissage de pages. C’est trop… Une saga qui avait bien débutée et qui finalement déçoit.
Le graphisme n’est toujours pas à la hauteur des attentes de ces pages sans texte.
Une bonne idée, un bon début, mais un débit d’inutilités qui frise l’arnaque commercial.
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