Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Selon Antonin Artaud «un peu de ce que nous avons été et surtout de ce que nous devons être gît obstinément dans les pierres, les plantes, les animaux, les paysages et les bois.» Avancer, trouver les passage, telle est la résultante de ces poèmes prenant la défense d'une vision poétique de l'univers, la seule qui vaille...
Le titre «sium arche d'eau», du celte ache, eau changé en «sium a(r)che d'eau» est un jeu de mot sur le terme «ache d'eau» qui signifie une sorte de céleri dont l'antiquité faisait des couronnes pour symboliser la victoire.
Par exemple, A. Dürer a choisi l'ache pour l'ornement de sa gravure : «Mélancolia». Mais l'ache d'eau entre aussi dans la composition de beaucoup d'autres ornements dès l'époque médiévale. Il s'agit donc aussi de prendre un motif décoratif existant et de lui redonner du sens.
Cette plante poussant au bord de l'eau, maintenant tressée`en poèmes divers, devient une arche, (navire), tantôt sous-marin, tantôt émergent !
C'est pourquoi le premier poème s'ouvre sur les fleuves dont les rives ont été le théatre de tant d'activité (verrerie, forge commerce, loisirs) et le dernier se clôt sur un pont.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"