Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
« Une parole qui se manifeste surtout par sa puissance. Parole qui déboule, éboule, corrode, et qui dépouille aussi, travaillée par ce mouvement de dénudation ontologique qui la constitue » écrivait Philippe Le Guillou lors de la première parution de Sinon La Transparence et Jacques Lovichi parlait « d'une haute tentative de réactivation du langage face à la désertion du verbe... ».
C'est à une intense traversée qu'invite ce texte dense et sensuel, qui explore douleur et jouissance, interroge l'être et la langue en usant de toute la richesse d'une écriture déployant largement sa palette entre netteté du constat, parfois cruel, parfois teinté d'humour noir, élan du souffle et percées de l'imaginaire. Ecriture charnelle, aigue, ancrée dans l'expérience sensible comme dans la quête intérieure et toujours marquée à la fois par l'exigence du questionnement poétique contemporain et par une irréductible singularité.
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