80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
La vie du staretz saint Séraphim de Sarov (1759-1833) est devenue très populaire, même en Occident. « Bien avant la canonisation officielle, la vox populi avait béatifié cet homme chaussé d'écorce de bouleau, vieillard aux traits sévères et fins, aux yeux d'un bleu limpide, disant à ceux qui venaient à sa rencontre : «Bonjour, ma joie ! » et ajoutant : «Le Christ est ressuscité!» ».
Ami des enfants et des bêtes, bon pour les repentis et exigeant pour les endurcis, préférant la solitude mais acceptant finalement les visites pour le bien de ses hôtes, sans parler des innombrables miracles qu'il a opérés et des nombreuses visions dont il a bénéficié, il a tout pour séduire, mais, ce qu'il a cherché avant tout, c'est ramener à Dieu ses frères et soeurs en humanité.
Selon sa biographe, il aimait répéter ces paroles du Christ : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai le repos. Prenez mon joug sur vous... car je suis doux et humble de coeur ; et vous trouverez le repos pour vos âmes. Car mon joug est doux et mon fardeau léger (Matthieu 2, 28-30). » « Des milliers de malheureux accourus à Sarov voyaient au bout de leur pénible route terrestre s'entr'ouvrir le portail lumineux du Royaume des Cieux ».
« Quand l'homme contemple au-dedans de lui cette lumière éternelle, il oublie tout ce qui est charnel, s'oublie lui-même et voudrait se cacher au plus profond de la terre afin de ne pas être privé de ce bien unique - Dieu » (Saint Séraphim).
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