Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
« Comme mon Île-Métropole, je suis le désir inassouvi d'être une enfant de Grand- mère la terre. Car je suis Tiawenhk, l'enfant du daim. Et O'Bumsawin, l'héritière de son don de clairvoyance. Je suis le sang mélangé d'Étoile-du-Matin qui savait si bien raconter le passé. Et Tiya, la porteuse du feu des commencements en terre originelle d'Afrique. » L'histoire d'Elle - jeune et instruite et belle à mourir - plus que d'un surnommé La Fourmi - petit air de déjà-vu, insaisissable comme une énigme et d'autant plus fascinant. Une traversée du temps et des choses par monts et par vaux. La croisée des mémoires et des parlers, qui ont façonné la géographie de l'Île-Grande au large du Magtogwek, l'Eau-Grande, au nord de l'Amérique du Nord. Une immersion si faire se peut dans l'intimité féminine en quête d'amour ou de soi-même. Croquis réaliste ou aquarelles figuratives d'une certaine Montréal, que ce roman-nouvelles ? Allez savoir...
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