80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« - Noëlla, entre tes fleurs et le restaurant, tu déploies une telle énergie et une si incroyable abnégation à mon égard que je ne sais comment te remercier. La vie se dévoile comme un océan et, à chaque fois qu'une vague se meurt sur un rocher, un rêve s'envole. Mais, grâce à ton altruisme, du haut de ma maladie, mes rêves omniprésents et acquis s'assimilent à un voeu, formulé le soir de Noël. Tu es mon ange gardien, ma bonne étoile. Merci mon amie. - As-tu oublié que je me prénomme Noëlla ? En quelque sorte, pour toi, je demeure la fille du père Noël ! » La sensibilité de Noëlla Moreaux s'exprime à travers sa délicate écriture qui parvient à rendre avec subtilité les tourments de son âme. Aux côtés de sa très chère amie Sandrine atteinte d'un cancer, qu'elle aide au jour le jour à surmonter la lourdeur du traitement médical, elle nourrit le fragile espoir d'une possible rémission. Elle décrit comment la jeune femme, entourée de l'amour de ses proches, assiste impuissante aux ravages causés par la maladie. Après la cérémonie de funérailles et les derniers adieux à la défunte, commence le lent et douloureux travail de deuil. Pour surmonter son chagrin, elle se raccroche à la spiritualité, à sa passion pour l'histoire et la culture, mais aussi à son goût pour la gastronomie. Ce récit d'une intense relation d'amitié ne manquera pas de susciter l'émotion du lecteur.
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