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Rue des rigoles

Couverture du livre « Rue des rigoles » de Gerard Mordillat aux éditions Le Livre De Poche
Résumé:

Gérard Mordillat
Rue des Rigoles

« Tu ferais mieux d'aller rue des Rigoles, il y a des Pompes beaucoup moins chères ! » Tel est le conseil donné à l'auteur par un copain, alors qu'il se met en devoir de préparer les obsèques de sa mère.
Et c'est ainsi, entre le chagrin et l'éclat de rire, que... Voir plus

Gérard Mordillat
Rue des Rigoles

« Tu ferais mieux d'aller rue des Rigoles, il y a des Pompes beaucoup moins chères ! » Tel est le conseil donné à l'auteur par un copain, alors qu'il se met en devoir de préparer les obsèques de sa mère.
Et c'est ainsi, entre le chagrin et l'éclat de rire, que
les souvenirs surgissent. Des souvenirs qui ramènent Gérard Mordillat à l'après-guerre, dans ce Paris
populaire du XXe arrondissement où il grandit entre un père employé à la SNCF et une mère venue d'outre-Atlantique, professeur d'anglais à l'école Berlitz.
Un Paris où survit le souvenir des Communards, où, dans les trente cinémas de quartier qui se trouvent entre Belleville et Ménilmontant, les premiers baisers dans la pénombre se confondent avec l'éveil d'une passion pour le 7e art.
Truculent, gouailleur, tendre, mélancolique, Gérard Mordillat compose un hymne à son enfance, qui ravira tous ceux qui ont aimé Robert Sabatier ou le Truffaut des Quatre cents coups.

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Avis (1)

  • Voilà un livre que je n’ai pas aimé. Dans lequel je me suis, la plupart du temps, ennuyée. Oser évoquer à son propos « Les quatre cents coups » de Truffaut (4ème de couverture) me semble un argument de vente totalement abusif. Je connais à Belleville un autre Gérard, coiffeur de son état, qui...
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    Voilà un livre que je n’ai pas aimé. Dans lequel je me suis, la plupart du temps, ennuyée. Oser évoquer à son propos « Les quatre cents coups » de Truffaut (4ème de couverture) me semble un argument de vente totalement abusif. Je connais à Belleville un autre Gérard, coiffeur de son état, qui pourrait raconter ce territoire du XX° d’une manière autrement plus truculente : je tâcherai de l’en convaincre.
    Plusieurs phrases révèlent cependant une sensibilité profonde qui émeut vraiment, telle l’évocation de la guerre entre ses parents, d’un mimétisme de son père, d’une carte postale envoyée à sa mère. D’autres sont une vraie leçon d’écriture, doublée d’un hymne au vélo aussi beau que surprenant.
    Pour vous éviter un achat peu nécessaire, je vous ai mis ces phrases en extraits. Bonne lecture… de celles-ci !

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