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Roland Brunner est psychanalyste et enseignant. Auteur de plusieurs essais, il est notamment spécialisé dans l'étude des personnalités narcissiques.
"Rome sweet Rome" se présente comme un "roman clinique". Deux personalités extrèmes, celle de Murcia la jeune archéologue et celle du "Dottore" le psychiatre, s'opposent et se confrontent après une rencontre fortuite dur le Forum. Chacun des protagonistes poussera la logique de sa personnalité jusqu'au bout d'une impossible relation. Elle veut devenir femme, connaître le désir et l'amour, mais ne le peut pas. Il peut aimer et désirer, mais il ne le veut plus. C'est dans la Rome d'aujourd'hui et d'hier que se déroulera leur errance relationnelle. C'est l'érudition, la Rome antique et la jouissance physique, qui seront pour Murcia les principaux moteurs pour vaincre son angoisse de vivre. C'est le noyau pervers du dottore, homme rangé, marié et père de famille, qui sera mis à nu le temps d'un voyage d'étude à Rome. Ce seront enfin les temps de "décadence" contemporaine, qui fourniront la toile de fond à l'intrigue. La partie se jouera en XXXI chapitres, les 31 jours d'un mois d'août chaud et humide de l'estate romana.
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