80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
La crise économique actuelle que nous pourrions (faussement) résumer par « il n'y a plus d'argent » altère la qualité du service rendu au public : emploi, climat, santé, éducation, police, justice, armée, transport, alimentation, retraite... Car les budgets sont contraints par des décisions d'austérité, c'est-à-dire par la volonté de limiter les dépenses publiques, avec comme objectif de diminuer la dette publique. Nous entendons dire partout, pour ma part en conseil d'administration de l'hôpital, qu'il n'y a plus d'argent. L'État l'ajoute aussi à son propos. Confronté de par mon rôle de médecin réanimateur médical, de chef du Pôle Urgences-Réanimation-Cardiologie d'un CHU, à une direction médico-économique hospitalière persuadée « qu'il n'y a plus d'argent » d'un côté, et à la qualité des soins apportée aux malades qui se dégrade faute de moyens de l'autre, j'ai commencé à lire... Ces lectures permettent de tenter de répondre à différentes questions. Quel est le rôle de l'argent, et s'il n'y en a plus, où a-t-il bien pu passer ? Quel est le rôle du crédit bancaire dans la création monétaire et quelle est la responsabilité des banques dans la survenue des crises économiques ? La finance doit-elle être notre ennemi ou notre ami ? Quelle est l'histoire des différents courants de pensée économique à travers les siècles qui ont conduit aux politiques économiques actuelles ? La crise est-elle une simple et banale histoire de répartition des revenus et des patrimoines ?
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