"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Il n'existait pas de mots pour en parler, puisque les mots étaient une façon de communiquer entre les Hommes et que le Sud était par essence totalement inhumain. Il s'agissait d'une vie étrangère, une vie de glaces, de minéraux et de vents.
C'était un voyage au bout duquel il n'y avait rien. On ne pouvait se risquer dans cet espace que pour un court instant et on savait que l'on marchait non pas dans la mort, car la mort est une action, un fait, mais plus exactement dans un endroit où il était impossible de vivre.
Justine Niogret surprend une fois de plus en explorant un nouveau genre. Avec "Quand on eut mangé le dernier chien", elle plonge dans la fiction historique pour raconter l’expédition tragique de la « Far Eastern Party » en Antarctique, en 1912. En 200 pages intenses, elle nous entraîne dans le froid glacial et l’exploit humain.
Justine Niogret s’inspire de l’expédition antarctique australasienne menée par Douglas Mawson, accompagné de Xavier Mertz et Belgrave Ninnis. Partis avec des traîneaux et des chiens, seuls Mawson revient après des mois de souffrance inimaginable. L’autrice narre cette aventure avec une écriture précise et incisive, capturant à la fois la grandeur et le désespoir de cette survie.
La glace comme personnage
Justine Niogret excelle à décrire l’hostilité de l’Antarctique : un froid implacable, des paysages meurtriers et une nature qui ne laisse aucun répit. À travers des chapitres courts, elle rend palpable chaque sacrifice, chaque douleur, chaque disparition. La glace devient un personnage central, indomptable et cruel.
Avec son style tranchant, Justine Niogret explore le combat intérieur de Douglas Mawson, dernier survivant avançant envers et contre tout. Elle interroge ce qui pousse un homme à continuer malgré la faim, le froid et l’abandon total. Douglas Mawson devient sous sa plume une figure de légende, incarnant la résilience humaine dans toute sa brutalité.
Justine Niogret signe ici un roman puissant, où douleur et exploit se mêlent. Court, glaçant, mais inoubliable, "Quand on eut mangé le dernier chien" laisse une empreinte profonde et rend hommage à l’incroyable force de survie humaine.
Un roman qui nous rappelle ceux de Jack London où la Nature, à la fois hypnotisante et terrifiante, règne sur et domine l'Homme.
Inspiré de faits réels, l'histoire se déroule en Antarctique en 1911, où l'explorateur Douglas Mawson part en mission pour cartographier ce désert de glace. Accompagné de deux jeunes mais expérimentés hommes et d'une dizaine de chiens de traîneau, il se lance dans un voyage de plus de 1 000 kilomètres. Si les trois hommes habitués à ce type de périples sont optimistes au départ, très vite la tournure des éléments va les refroidir.
Bien que le titre du roman annonce la couleur, nous ne sommes jamais prêt à lire de telles horreurs et encore moins lorsqu'on apprend qu'elles viennent de faits réels et non pas de l'imagination de l'écrivaine.
La Nature est impitoyable et ramène l'Homme à sa petite condition. Elle nous rappelle qu'il ne faut jamais la sous-estimer et repousse dans leurs retranchements Mawson, Hertz et Ninnis. Jusqu'où peut-on aller pour survivre ?
On se retrouve également en admiration face à tant de résilience mentale et physique. Tous ces hommes qui ont voyagé dans ces paysages inhospitaliers pendant des mois et des années. Pour la Science. Ou, pour certains, dans l'espoir d'un avenir plus prospère.
Le titre « Après qu’on eut mangé le dernier chien » donne le ton ! Mawson, Ninnis et Mertz, accompagné de 17 chiens partent pour une expédition de l’extrême en 1912 en Antarctique. Et là, c’est l’enfer : météo épouvantable, relief quasi-impossible à traverser, le froid, la perte de la nourriture, les maladies, les blessures… Bref, imaginez le pire et cela ne sera rien comparé à ce qu’ont vécu ces hommes et ces chiens ! C’est un récit de survie dans des conditions extrêmes, une lecture passionnante mais qui fait froid dans le dos et dans tout le corps. On assiste, totalement impuissant, à la disparition progressive des protagonistes… C’est effroyable mais je suis sûre que, comme moi, vous aurez envie d’aller au bout de cette lecture.
Ce récit est romancé mais tiré d’une histoire vraie. Il m’est difficile d’imaginer ce qu’ils sont enduré ! C’est un témoignage de courage, de détermination au-delà de ce que le corps et l’esprit sont capables de supporter !
Merci Lecteurs.com pour cette découverte !
« Cette réclusion-ci fut moins tendre que l'autre. Il fallut parler du peu de chemin parcouru, et les explorateurs décidèrent de réduire les rations : pour se nourrir jusqu'à leur retour à Cape Denison, ils devraient réduire leur portion de moitié. Aucun des trois hommes ne sembla s'en fâcher et Mawson admira leur sérénité. »
Le titre du roman et ce premier extrait donnent le ton : il va s’agir, au-delà de l’aspect scientifique de cette expédition dans l’Antarctique, de survie. Au vu de la fin du livre, on peut se demander si l’ensemble de ce voyage en traîneau a été correctement préparé : trois hommes, dix-sept chiens, trois traîneaux, des vivres calculées au plus juste selon leur poids et le nombre de jours prévus pour rallier l’endroit que les trois explorateurs doivent cartographier, sans oublier le retour, une météo épouvantable et un relief imprévisible, voilà le programme. Cela se passe en 1911, Douglas Mawson dirige l’expédition et dès le début, les conditions climatiques ne font qu’empirer, quant au terrain, il est formé soit de dangereux sastrugi, formations en forme de vagues gelées, soit de sol instable où se cachent de dangereuses crevasses
« Mawson avait justement choisi ses compagnons pour cela : ils n’étaient pas vantards, ne plaçaient pas dans ce voyage une identité virile ou une preuve de masculinité. »
Que les amoureux des chiens ne s’enfuient pas, les vaillants groenlandais ne serviront, pour certains, d’aliment de survie qu’en tout dernier recours, lorsqu’ils n’auraient pas survécu de toute façon, et avec le plus grand respect pour eux. Cette expédition qui a réellement eu lieu, mais dont certains détails ont été recréés par l’autrice, a vraiment cumulé la malchance et les situations épouvantables. On peut sans doute reprocher à Mawson, Ninnis et Mertz leur entêtement, mais cette expédition avait mobilisé le travail de préparation de nombreuses personnes, levé des fonds importants, et l’idée d’abandonner ne leur est tout simplement pas venue à l’esprit.
Je ne connaissais pas Justine Niogret, une autrice essentiellement de science-fiction, j'ai trouvé en tout cas qu’elle avait fort bien mis en scène et raconté sans un mot de trop cette histoire très forte et prenante, pleine de péripéties, tout en gardant toujours à l’esprit le côté humain d’un périple où les corps auront été soumis à des épreuves inimaginables. Impressionnant !
Merci Lecteur.com de m'avoir envoyé ce livre lors du tirage sort suite à l'article : Découvrez 5 romans en format poche et tentez de les gagner.
Un récit historique et nature writting d'une expédition qui tourne à la tentative de survis trois scientifiques, Mawson, Ninnis et Mertz partent avec dix-sept chiens groenlandais, et deux traîneaux en 1912 pour une expédition en antarctique au Cap Denison en Terre Adélie. Au retour à cinq cents kilomètres de leur base un accident arrive.
Justine Niogret nous entraine dans ce récit d'aventure inspiré d'une histoire vrai mais raconté avec un sens du romanesque. Les chapitres sont courts, un voyage captivant, intimiste, inoubliable, une impitoyable force de la nature avec les trois scientifiques courageux. Une écriture dépouillé, le style est puissant, documenté, une course contre la montre, le froid, la souffrance, la douleur, la force d'esprit, l'amitié. Beaucoup d'émotions, on frissonne jusqu'à la fin. Une lecture que je recommande.
"Il avait déjà vu des hommes à bout de force et de moral marcher avec un regain d’énergie, une fois que le chef d’expédition leur avait juré qu’ils mangeraient, dans quatre jours et ramollie dans leur thé, une lanière de graisse d’éléphant de mer vieille de plusieurs semaines. Sur la glace, la nourriture était un but, un rite et en cela, elle cristallisait tous les besoins et les désirs des explorateurs. La nourriture, elle, restait humaine."
"Il s’agissait de crêtes de neige aiguës, toutes parallèles, montant au moins jusqu’aux hanches, parfois au sternum. Le vent changeait ces dunes en glace transparente et Mawson, en voyant leur dos lisse et bleu percer la surface poudreuse de la banquise, songeait aux ailerons des dauphins qui accompagnaient parfois les bateaux sur l’océan. Les sastrugi étaient dures comme de l’acier et rencontraient presque toujours le chemin des explorateurs de façon perpendiculaire. Les patins des traîneaux ne pouvaient les briser pour s’y faire un chemin et les passer à skis relevait du numéro d’équilibriste : on ne pouvait tenir que sur le sommet de deux crêtes et le bois des skis pliait comme un arc, puis se brisait. Il n’y avait guère que deux solutions : faire un détour, ou s’y frayer un pénible chemin, à pied, en aidant les chiens à faire monter et descendre les traîneaux, tout en s’assurant que les cargaisons ne se renversent pas. Les sastrugi se passaient à la force des bras, et les trois hommes ne le savaient que trop bien."
On ne connaissait pas encore Justine Niogret, auteure de SF hors de notre radar.
Mais la voici qui s'attaque à un genre très différent avec Quand on eut mangé le dernier chien, pour nous romancer une expédition en Antarctique, celle qui vers 1910 conduisit trois hommes au désastre : l'expédition Aurora ou expédition Mawson qui devait cartographier une partie du continent blanc, tout au sud, encore plus au sud, de l'Australie.
Un bouquin sur un sujet comme on les aime qui vient en rejoindre d'autres sur notre étagère des histoires blanches et glaciales des pôles.
On aime très beaucoup :
❤️ Il faut se laisser happer par le récit de Justine Niogret, celui d'une histoire vraie, documentée avec beaucoup de rigueur, mais emportée par la force d'un excellent roman, rédigé d'une plume puissante. Ce bouquin est un véritable page-turner, qu'on lit d'une traite, tellement on a hâte de sortir de l'enfer dans lequel nous avons plongé avec ses héros.
Le court récit fonctionne parfaitement, particulièrement bien maîtrisé, allégé de l'avant comme de l'après, concentré sur la course de ces explorateurs, leurs souffrances, leur volonté de dépassement et l'auteure va à l'essentiel comme elle le dit elle-même : [Ce récit est un récit d'ascèse et, tout comme Mawson l'a fait de son paquetage, nous avons mis de côté tout ce qui pouvait l'alourdir.]
❤️ On profite d'une aventure par procuration, bien calés dans notre fauteuil confortable et douillet. Mais d'où nous vient cette curieuse fascination pour ces aventures inhumaines ? Sommes nous attirés par ces héros de tragédies modernes ou d'explorations à la Jules Verne ? Est-ce pour nous jouer du danger et du risque invisibles dans nos sociétés sécurisées ? Pour la nostalgie d'une noble époque où les dollars seuls ne suffisaient pas ? Pour goûter un dépaysement que l'on sait inaccessible au commun des mortels, même encore aujourd'hui ?
le contexte :
On ne se lasse pas de ces récits glacés où le froid lui-même se fait matière solide, des récits qui nous content les aventures littéralement incroyables de quelques fous complètement givrés, obsédés par le Grand Blanc (The White Darkness comme l'appelait Henry Worsley), partis explorer des territoires qui ne sont pas plus faits pour l'homme que la Lune ou Mars.
Des récits qui font passer l'ascension de l'Everest pour une balade : les touristes fortunés y font la queue et on n'a jamais fait la queue au Pôle Sud qui n'a pas eu plus de visiteurs que la Lune.
Ces fous givrés sont des personnalités hors normes, motivées au choix, par la recherche de la gloire, le goût de l'aventure extrême, la curiosité scientifique, le dépassement de soi et des limites de la résistance humaine.
Certains iront s'enfermer dans de minuscules stations inaccessibles la plus grande partie de l'année, d'autres se laisseront dériver sur des morceaux de banquise, d'autres encore laisseront leur navire se prendre dans les glaces, les plus fous, comme ici, partiront à pied ou en skis, ...
L'intrigue :
Cet été là (fin 1912), plusieurs groupes de traineaux partent explorer la région depuis le Cap Denison au sud de l'Australie.
L'une des expéditions (trois hommes et dix-sept chiens) entreprend de cartographier l'est lointain, c'est le Far Eastern Party.
Des trois hommes, le géologue britannique Douglas Mawson, le lieutenant britannique Belgrave Ninnis et le suisse Xavier Mertz, un seul reviendra au camp de base après un millier de kilomètres parcourus pendant plusieurs mois sur la glace.
Des dix-sept chiens ...
Alors nous voici partis pour une aventure au-delà de l'humain au cours de laquelle Justine Niogret, soigneusement documentée, ne nous épargne aucune souffrance.
Et manger les chiens ne sera pas la pire des épreuves qui nous attendent.
Un roman fort et puissant à la hauteur de cette formidable histoire : même si le lecteur est bien confortablement assis, il n'en ressort pas tout à fait indemne.
Dans son roman Quand on eut mangé le dernier chien, Justine Niogret raconte l’expédition dans l’immensité des terres glaciales de l’Antarctique, de trois scientifiques, Mawson, Ninnis et Mertz. dix-sept chiens groenlandais, et deux traîneaux, le « groupe de l’est lointain ».
Partis fin 1912 du Cap Denison avec leurs chiens, leur but, cinq cent soixante kilomètres et même chose au retour, est de collecter des données, des roches géologiques, et d’explorer et cartographier les régions côtières du continent glacé. Ils sont loin de se douter de l’affreux cauchemar qui les guette.
En effet, comme le titre du livre le laisse à penser, l’expédition va être confrontée à des conditions extrêmes, inhumaines. L’autrice va d’ailleurs donner comme titre aux différents chapitres du livre, le nombre de chiens survivants, ce nombre diminuant au fil du récit, même s’il peut augmenter deux fois, la première lorsque la Chienne met bas quatorze chiots, hélas nés déjà froids et la seconde lors du retour de La Rouge.
Les bêtes sont vitales, ce sont elles qui tirent les traîneaux sur lesquels se trouvent la nourriture, les outils, les médicaments et « Tous savaient ce qu’ils deviendraient sans les chiens »…
Justine Niogret a centré sa fiction historique sur les trois aventuriers au courage sans borne et leurs chiens faits pour la glace, à la puissance et l’endurance incroyables.
Elle nous transporte dans ce froid glacial, dans cette solitude glacée avec l’infini à perte de vue, infini pourtant très restreint pour ces hommes portant des lunettes de bois fendu enfoncées dans plusieurs capuches durcies et prises par la glace.
Tout en nous faisant suivre la progression de ces explorateurs, Justine Niogret décrit avec détails non seulement les éléments naturels sur et avec lesquels ils évoluent, avec les sastrugi, crêtes de neige aiguës et le blizzard, leur nourriture avec le fameux hoosh, soupe faite avec les réserves de pemmican, les vêtements avec les finnesko, chaussures traditionnelles en peau de renne, mais aussi la tente de bambou et l’indispensable et vital petit poêle Primus.
Avec un style clair, dépouillé et précis, l’autrice nous fait vivre au plus près de ces hommes, ressentir avec acuité et avec incrédulité les conditions dantesques et quasi irréelles qu’ils doivent vaincre, leur survie ne tenant qu’à leur ténacité, leur expérience, leur solidarité.
Leurs forces physiques et mentales, leur capacité à dépasser la souffrance et l’épuisement m’ont absolument coupé le souffle et laissée ébahie.
De même, leur pugnacité pour faire face au blizzard, leur résistance aux privations de nourriture et de soins, leur ingéniosité et inventivité pour tenter de se sortir de situations quasi sans issue m’ont stupéfaite et laissée plus qu’admirative.
Plus que des hommes, on peut, je crois, parler de surhommes, de véritables héros, ne cherchant pas la gloire ou la renommée, mais seulement à approfondir les connaissances sur des contrées encore mal connues, et pour cause.
Quand on eut mangé le dernier chien de Justine Niogret est un récit puissant et saisissant, une revisite personnelle et originale, réussie de cette grande histoire de survie… solitaire, à l'ère héroïque de l'exploration antarctique.
Chronique illustrée à retrouver ici : https://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/2024/07/justine-niogret-quand-on-eut-mange-le-dernier-chien.html
Après la fantasy, la science-fiction et le roman noir qui lui ont valu plusieurs prix, Justine Niogret se joue définitivement de toute catégorisation en s’attaquant brillamment à une autre forme de voyage littéraire : elle raconte l’expédition antarctique de Douglas Mawson à la fin de 1912.
Nous sommes à l’âge héroïque de l’exploration en Antarctique. Depuis la fin du XIXe siècle, les expéditions dans cet espace géographique encore inconnu se disputent la gloire et le progrès scientifique. Mais, sans liaison radio ni engins motorisés, ne pouvant compter que sur leurs seules forces physiques et mentales, les hommes paient un lourd tribut aux risques qu’ils y encourent.
Quand, à l‘été austral 1912-1913, le géologue australien Douglas Mawson qui n’en est pas à son coup d’essai – il s’est notamment joint à une expédition de Shackleton quelques années plus tôt – choisit son compatriote le lieutenant Belgrave Edward Sutton Ninnis et l’alpiniste suisse Xavier Mertz pour un raid de plusieurs mois en Terre Victoria, depuis le camp de base de leur expédition au Cap Denison en Terre Adélie, il ne se doute pas encore, contrairement au lecteur informé par le titre du récit, de l’ampleur de leur cauchemar à venir.
L’accident qui va tout compromettre les surprend après un mois de route, à cinq cents kilomètres de leur base. Sur les trois hommes et leurs dix-sept chiens de traîneau, le décompte des survivants, égrené par les têtes de chapitre pendant encore les deux mois du retour, tombera à un. Dans l’intervalle, affûtée comme la lame d’un couteau pour, selon l’auteur elle-même, épouser l’ascèse des explorateurs ramenés aux stricts essentiels de la survie, la plume à l’os de Justine Niogret nous emporte dans un récit puissant, tendu comme cette équipée au bout du dépassement et de la souffrance. Rigoureusement précise et factuelle, au-delà de toute considération psychologique, la narration de cette histoire vraie emporte ses protagonistes jusqu’à l’ultime révélation, la révélation de soi-même au contact de l’inhumain : un espace infini de glace, de neige et de blizzard où rien de vivant n’a de place.
A la précision et à l’urgence d’un récit saisissant, qui pourra rappeler le tout aussi spectaculaire The White Darkness de David Grann, Justine Niogret allie la force et la beauté d’une écriture ciselée jusqu’à l’épure et la portée universelle d’une véritable œuvre romanesque. “Tout le monde a son Antarctique”, a écrit Thomas Pynchon. A méditer. Coup de coeur.
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