"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Toi, Oui toi qui lis ces lignes, Quelle sorte de teigne es-tu ?
C'est bien la suite de «L'AFFAIRE DU POIREAU VINAIGRETTE» que tu t'apprêtes à butiner.
Est-ce la folie qui t'a mis la puce à l'oreille ?
Tu dois avoir une araignée au plafond pour en redemander ainsi.
N'as-tu donc rien appris de ta première rencontre avec la noirceur de mon génie destructeur ?
Je savais que tu avais le bourdon, le cafard, depuis que je t'ai fait prisonnier de ma toile.
Rien ne m'échappe. Jamais.
J'entends les fourmis que tu as dans les jambes.
Je te devine excité comme un pou à l'idée de savoir dans quelle sombre histoire de malentendus et de funestes quiproquos je vais t'emmener.
Mais si tu crois que tu vas pouvoir me tirer les vers du nez, tu te trompes : on parle ici du plus grand tueur de l'Histoire du crime !
Avec ou sans poireau, tu ne restes qu'un insecte.
Et avec ce nouveau chapitre de cette saga légendaire, une fois de plus, je fais mouche.
Es-tu vraiment prêt ?
L'heure est grave. Je dois vous parler du tome 2 d'Heckle Freux. Si vous n'avez toujours pas lu la saga du Poireau, je vais vous expliquer pourquoi vous devez à tout prix la lire avec ce deuxième tome.
Tout d'abord, parce que c'est de la bombe. Si le tome 1 est bien déjanté et original, le tome 2 va encore plus loin. On est vraiment plongé dans un polar, la tension monte, l'étau se resserre, le rythme s'accélère. La plume de l'auteur est encore plus aiguisée. On sent qu'Heckle Freux est en maîtrise totale. Les personnages et leur psychologie sont davantage développés. On en rencontre d'ailleurs des nouveaux avec grand plaisir. Chacun a son propre style de narration, sa propre façon de penser.
L'auteur nous tient. Prisonniers, nous n'avons pas d'autres choix que de poursuivre, sans jamais s'arrêter, ce tome. Parce qu'on veut écouter la chanson jusqu'au bout et en connaître sa fin. Quelle fin va-t-on avoir ? Question qu'on se pose à chaque nouveau chapitre tant il y a de rebondissements. Le souffle court, on tourne les pages. Inquiet, on se demande bien comment ça va se terminer pour nos pauvres François-Xavier, Christophe ou encore Gilles. Et puis Bob aussi. Même s'il est un sociopathe, au fond de nous, on aimerait bien continuer à le voir échafauder des plans.
La chanson se termine. Sur une note épique. Que faire ? Lire la suite, immédiatement. Ah, crotte ! Le tome 3 n'est pas encore sorti. Ah, mais il sort en mars/avril. Bon, ça va. Je pense que je peux survivre en attendant. Mais vite, quand même hein.
Bref, lisez cette saga. C'est bon pour la santé.
J’ai de nouveau apprécié cet humour décalé au fil des pages et cette fois-ci, habitué au style de l’auteur, je n’ai eu aucun mal à repérer les différents personnages. Ce « Bob » complètement perché m’a bien fait sourire ! Les chapitres s’enchaînent les uns à la suite des autres autour d’un quiproquo qui créé des situations complètement déjantées ! Enfin, j’ai dévoré les dernières pages où Gilles Bermajou prend toute sa place dans l’apothéose finale !
Et cerise sur le gâteau … que c’est amusant de retrouver les titres des chansons (ou de films) de certains chapitres : « Poireau of the tiger » , « Trois hommes et un poireau », « Poireaux bloody poireaux », « Papa was a rolling poireau » … Vraiment quelle imagination débordante !
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