80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Les seuls maîtres à penser de Jean-Paul Leclercq sont les très grands poètes, ils ne détiennent aucune certitude et ne s'embarrassent pas de problématiques philosophiques.
Il a essayé simplement et humblement de les imiter pour vous entraîner dans un imaginaire extraordinairement original :
Promenade à Dei El Bahari Quand le soleil se perd sur la rive du Nil, Les falaises abritant tous ces temples sacrés Plongent les ruines de ce théâtre d'ombres hostiles En baignant d'une moiteur douce leurs hypogées.
Solitaire et rêveur, guidé par la luciole, Comme un cadeau du ciel en ce site désertique, Je vois m'émerveillant sur ces lieux magiques La Reine Hatshepsout posant sa nécropole.
Sublimer ce spectacle, grandiose, unique, Réveille en moi des sentiments d'éternité.
Mais la grande vallée de ces reines tragiques Sans cesse me conduit à la seule ayant régné.
Aucune âme perdue, et sous les mêmes cieux, Les hommes bâtissaient ces ultimes demeures.
Leurs ferveurs religieuses écartant les malheurs, Les faisant espérer la mansuétude des Dieux.
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