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L'oeuvre de Pierre Coulibeuf est caractérisée par un intérêt particulier pour le lieu - lieu de tournage pour ses films, lieu d'exposition pour ses installations.
Dans son processus de création, le film a toujours pour origine un lieu réel, une architecture. Dans la conception de ses installations, le lieu d'exposition est pris en compte, au point de faire partie intégrante de l'oeuvre, à l'instar d'une oeuvre d'art public. De ce fait, l'oeuvre « installation » est toujours en devenir, le contexte d'exposition modifiant à chaque fois le dispositif - et donc la perception de l'oeuvre par le regardeur.
En outre, l'oeuvre de Coulibeuf est essentiellement transdisciplinaire : plusieurs champs artistiques sont impliqués dans le processus de création de chacune de ses oeuvres.
L'exposition Fiction au palais Jacques Coeur, à Bourges, pose la question du lieu, sous le rapport de l'oeuvre au monument historique. Comment une oeuvre se révèle dans un lieu et inversement : comment un lieu se révèle grâce à une oeuvre, à l'opposé d'un principe d'exposition traditionnel. L'exposition postule un « génie du lieu » : les artistes et les architectes qui ont inspiré ou façonné le palais, mais aussi ceux qui ont pu l'habiter, font de ce lieu un lieu « actif », avec lequel les oeuvres de l'artiste peuvent dialoguer.
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