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Piero Manzoni : À chaque jour suffit sa peine

Couverture du livre « Piero Manzoni : À chaque jour suffit sa peine » de Paolo Bacilieri aux éditions Sarbacane
  • Date de parution :
  • Editeur : Sarbacane
  • EAN : 9791040805939
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Génie irrévérencieux, Piero Manzoni a traversé comme une comète les avant-gardes italiennes et européennes de l'après-Seconde Guerre mondiale, avant de disparaître à l'aube de ses trente ans. Que nous a légué cette brûlante parabole humaine ? Des tableaux sans peinture, des peintures sans... Voir plus

Génie irrévérencieux, Piero Manzoni a traversé comme une comète les avant-gardes italiennes et européennes de l'après-Seconde Guerre mondiale, avant de disparaître à l'aube de ses trente ans. Que nous a légué cette brûlante parabole humaine ? Des tableaux sans peinture, des peintures sans couleur, des lignes sans dessin, des sculptures vivantes, mais surtout la pratique d'un art total qui ne fait pas de distinction entre l'oeuvre et la vie.

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Avis (1)

  • Qui est Piero Manzoni ? Fils d'un comte et d'une comtesse, abandonne ses études pour dessiner, peindre. Dans l'Italie de l'après-guerre secouée entre fascisme et communisme, il développe une vision bien personnelle, inspiré par Yves Klein, de l'art. Ironique, insolent, il provoque et dérange...
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    Qui est Piero Manzoni ? Fils d'un comte et d'une comtesse, abandonne ses études pour dessiner, peindre. Dans l'Italie de l'après-guerre secouée entre fascisme et communisme, il développe une vision bien personnelle, inspiré par Yves Klein, de l'art. Ironique, insolent, il provoque et dérange avec des oeuvres comme "merde d'artiste" ou "sculpture vivante".

    Mettre en images la courte vie de Piero Manzoni.(1933-1963), pionnier de l'art conceptuel Tel était le défi de Paolo Bacilieri dont j'avais particulièrement apprécié le travail dans le polar "Vénus privée" paru chez ça et là. Dans un style un tantinet foutraque, décousu, à l'image de l'artiste, il retrace ses errances, ses excès, son tour d'Europe pour exposer, faire découvrir son travail.

    Le noir et blanc de Paolo Bacilieri vaut le détour. Son trait fin met en valeur les architectures italiennes, et il n'a pas son pareil pour brosser des personnages aux gueules bien vivantes. Il les met en valeur par des gros plans et des mimiques bien senties. Il propose des pages variées, plus ou moins remplies, parsemées ici et là de dessins d'œuvres de l'artiste.

    Drôle de surprise ovniesque que cet album qui trace le parcours d'un homme que je ne connaissais pas. Une vraie curiosité dans laquelle Il manque peut-être une vraie galerie de ces œuvres mais elles sont facilement trouvables sur le net.

    thumb_up J'aime comment Réagir (0)

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