Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Stéphanie est seule, sans argent, et elle peine à trouver un logement. Aussi croit-elle que la chance lui sourit quand elle finit par dénicher une chambre au loyer abordable dans une vaste demeure de Birmingham. Mais au 82, Edgehill Road, on aurait tort de se fier aux apparences. L'atmosphère inquiétante qui règne dans cette maison délabrée inspire à Stéphanie un profond malaise. Mais c'est sans compter les murmures dans la cheminée, les bruits de pas dans le couloir, les pleurs de femmes qui s'élèvent derrière les murs et les accès de violence du propriétaire des lieux. Pourtant, le cauchemar ne fait que commencer. Stéphanie parviendra-t-elle à s'enfuir de ce lieu maudit d'où personne ne peut l'entendre crier ?
Sans le sous et allant de petits boulots en petits boulots, Stéphanie n’a pas d’autre choix que d’accepter de louer une chambre à un prix dérisoire, dans une vieille maison délabrée et sale dont le propriétaire n’est pas des plus agréables même s’il essaie de l’être… au début…
La 1ère nuit et les suivantes vont s’avérer éprouvantes : pleurs de femmes, bruits de pas dans les couloirs alors qu’il n’y a personne, murmures, sensation que quelqu’un se trouve dans la chambre et fouille ses affaires, sensation que quelqu’un s’assoit sur le lit… Et c’est sans compter sur le soi-disant cousin du propriétaire qui rapplique avec une tête à faire peur…
Stéphanie n’espère qu’une chose, récupérer sa caution et vite partir. Malheureusement pour elle, les choses vont aller crescendo et la pauvre Stéphanie va vivre un cauchemar…
*****
Ecrivain de thrillers surnaturels, Adam Nevill met le paquet mais l’histoire traine beaucoup trop en longueurs.
Avant que l’histoire ne démarre, il y en a des choses étranges… des ombres, des odeurs, des bruits n’ayant pas lieu d’être, des apparitions… on est servi.
Les choses passent enfin à la vitesse supérieure aux environs des 30% du livre. Quand cela s’achève, on pense que c’est fini et bien non, on repart pour une deuxième partie que j’ai trouvé laborieuse… je n’en dirai pas plus pour ne pas gâcher la lecture de ceux qui souhaiteraient se lancer dans la lecture du roman mais là encore le récit est long, long, long avant que le dénouement final n’arrive.
J’avoue avoir lu pas mal de pages de cette 2ème partie en diagonale car c’était trop ennuyeux pour moi. J’ai été contente d’enfin terminer le livre pour pouvoir passer à un autre.
Les idées sont bonnes, l’histoire ferait peut-être un bon film d’horreur mais à condition de couper les parties trop longues du roman.
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