Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Chaque jour, Millie fait le ménage dans la belle maison des Winchester, une riche famille new-yorkaise. Elle récupère aussi leur fille à l'école et prépare les repas avant d'aller se coucher dans sa chambre, au grenier. Pour la jeune femme, ce nouveau travail est une chance inespérée. L'occasion de repartir de zéro. Mais, sous des dehors respectables, sa patronne se montre de plus en plus instable et toxique. Et puis il y a aussi cette rumeur dérangeante qui court dans le quartier : madame Winchester aurait tenté de noyer sa fille il y a quelques années. Heureusement, le gentil et séduisant monsieur Winchester est là pour rendre la situation supportable. Mais le danger se tapit parfois sous des apparences trompeuses. Et lorsque Millie découvre que la porte de sa chambre mansardée ne ferme que de l'extérieur, il est peut-être déjà trop tard...
J’ai vu ce livre partout sur Internet et plusieurs amies lectrices m’en ont dit beaucoup de bien. J’ai donc fini par me laisser tenter.
Le style n’a rien d’exceptionnel et j’ai vraiment eu l’impression de lire de la chick-lit. Quant au suspense, le comportement exagéré de la patronne de Millie rend le retournement de situation bien trop prévisible. Cela dit, le roman se lit rapidement, il est plutôt agréable et ne manque pas d’humour. Il n’est même pas exclu que je lise la suite.
J’ai succombé à l’engouement général qui m’a incité à lire ce roman et j’avoue, il est totalement justifié.
Que voit on par ce trou de serrure?
Un début très intrigant avec un policier assis dans un beau salon et menant un interrogatoire suite à la découverte d’un cadavre.
Flashback ! Quelques mois auparavant , Millie ex-taularde a été embauchée comme femme de ménage, pardon gouvernante de la magnifique demeure des Winchester.
Dans cette première partie, elle nous raconte sa nouvelle vie et surtout ses émois pour son beau patron, Andrew. J’avais l’impression d’être dans un roman à l’eau de rose plutôt que dans un thriller!
S’ensuit le récit de Nina, la maîtresse de maison toujours de blanc vêtue, comme un ange, en surpoids ( Bon sang! Elle ne sait pas que le blanc grossit!) et pourtant adorée par son mari qui la couvre de cadeaux.
Le couple idéal et très amoureux.
Accrochez-vous, Freida McFadden est en train de vous manipuler et vous allez adorer!
Une intrigue magnifique, à laquelle on se laisse prendre avec plaisir et un épilogue inattendu et prometteur. Hate de lire la suite!
Genre : Thriller psychologique
Avis : MACHIAVÉLIQUE
Livre audio
Quand un roman vous entraîne dans la perversité mentale la plus implacable…
Incroyable ! Alors que je me disais que je ne comprenais absolument pas pourquoi ce roman avait des avis dithyrambiques, je suis arrivée à la deuxième partie et là, j’ai senti un nouvel intérêt alors que j’étais partie pour abandonner ma lecture. Mais les narratrices apportent aussi leur contribution car avec deux voix différentes, la lectrice que je suis a pu s’immerger complètement et visualiser les caractères différents donnés aux personnages.
Millie, jeune femme au lourd passé a saisi sa chance en travaillant chez Nina et Andrew, de riches new-yorkais. Mais Nina se révèle instable et toxique, tout comme sa fille qui mène la vie dure à la femme de ménage. Et que penser de la petite chambre mansardée qui ne se ferme que de l’extérieur ! Millie n’a pas le choix, elle doit travailler et Andrew, lui, est séduisant et gentil. Mais qui sont-ils vraiment ? Et elle, jusqu’à quand acceptera-t-elle de supporter l’impensable ?
L’autrice fait monter la pression mais à un moment, ce n’est plus possible, il doit se passer quelque chose. C’est là que Nina prend la parole et raconte sa vision de ce qu’a vécu Millie jusque là, mais aussi comment Andrew n’est peut-être pas le gentil mari qu’il prétend. À partir de cette deuxième partie, Nina et Millie nous accompagneront dans une descente aux enfers qui deviendra particulièrement impressionnante.
La balade dans le milieu des femmes riches et oisives est la seule ouverture dans ce roman quasiment vécu en huis clos, concentré sur la vie des Winchester dans leur maison. Dès le prologue, le ton est donné. Il s’est passé quelque chose de grave ! Mais quoi ? Il faudra attendre très longtemps pour en avoir une idée.
La plume de l’autrice a réussi à installer un climat malaisant, oppressant et je crois que c’est la principale réussite de ce roman. Qui sera la victime ? Qui sera le meurtrier ou la meurtrière ? Ils sont doués, ceux qui n’ont pas eu à attendre les dernières pages pour le savoir. Et pourtant, il n’y a que quatre personnages importants !
Je remercie #NetGalleyFrance et #Lizzie pour #Lafemmedeménage ».
La femme de ménage par Freida McFadden, lu par Laure Filiu, Audrey Sourdive, Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Karine Forestier, Lizzie, 2024 (1ère édition en français : City Edition, 2023)
Le premier tome d’une série qui a suscité des critiques enthousiastes ! Je vais être un peu à contre-courant…
Un récit de manipulation psychologique construit autour de deux points de vue féminins.
La première à se raconter est Millie, une jeune femme un peu paumée, en liberté conditionnelle, qui vit dans sa voiture après avoir perdu son emploi de serveuse.
Retrouver un nouveau travail de femme de ménage logée est une chance inespérée, l’occasion de repartir de zéro, même si c’est difficile : dans la belle maison des Winchester, une riche famille new-yorkaise, Millie exécute toutes les tâches ménagères, fait les courses, récupère a la fillette du couple, particulièrement mal élevée, à l'école et prépare les repas avant d'aller, enfin, se coucher dans sa chambre, au grenier.
Double-cerise sur le gâteau : Andrew Winchester est beau, sexy et sympathique, attentionné même envers le petit personnel et Enzo, le jardinier, bien que taciturne, est, lui aussi, un joli petit lot.
Mais, sous des dehors respectables, Nina Winchester se montre de plus en plus instable et toxique. Et puis il y a aussi cette rumeur dérangeante qui court dans le quartier : elle aurait tenté de noyer sa fille il y a quelques années. Et Millie est hébergée dans une chambre de bonne mansardée qui ferme seulement de l’extérieur et dont la fenêtre ne s’ouvre pas…
L’histoire, bien que captivante, commençait à m’agacer un peu par son côté trop romance pour moi : tandis que sa patronne lui mène la vie dure, Millie entame une relation amoureuse avec son séduisant mari. Heureusement, un brusque changement de narratrice, avec la prise de parole de Nina Winchester a littéralement inversé la focalisation et relancé mon intérêt, même si je me doutais un peu que tout n’allait pas être aussi simple que cela semblait. Je n’en dirai pas plus pour ne rien divulgâcher.
Les points positifs à retenir dans ce roman…
Une intrigue racontée de manière très factuelle où l’ambiance anxiogène est suggérée dans la première partie et surjouée ensuite, créant un effet miroir caricaturant.
Une narration très théâtrale avec une économie de personnages : tout se passe entre le mari, la femme, la bonne et le jardinier. Les autres protagonistes font office de chœur, commentant l’action de l’extérieur.
Un dénouement trop capillotracté pour être crédible mais qui colle bien au côté thriller domestique théâtral.
J’ai passé un bon moment de détente avec ce roman, sans plus. Trop domestique et romance pour me plaire vraiment.
Les voix des narratrices, dans la version audio, correspondaient bien à l'atmosphère générale mais augmentait parfois mon agacement.
#Lafemmedeménage #NetGalleyFrance #lesglosesdelapiratedespal
Quel livre ? On se trouve au milieu de 4 personnes : 2 femmes et 2 hommes ? On a du mal à quitter cette lecture pour aller vers ses "occupations"...
Excellent divertissement !
J’avais vu passer un certain nombre d’avis sur ce livre depuis sa sortie. Je n’avais pas pu le lire à ce moment-là mais j’ai profité de sa version audio afin, d’enfin, me faire mon propre avis.
Dans un premier temps, l’histoire est racontée à la première personne par une jeune fille qui devient la femme à tout faire d’une famille bourgeoise. Elle subit les folies de la mère, les caprices de la fille et le charme du mari. Alors que le lecteur a l’impression de tout comprendre, le roman bascule. Il laisse la place à un nouveau point de vue, qui va tout changer.
« La femme de ménage » est une preuve que le livre audio peut apporter une plus-value à la lecture. Ce thriller domestique aurait pu être banal s’il n’était pas interprété de manière magistrale. Les personnages et les dialogues sont assez caricaturaux, ce qui donne lieu à des scènes peu crédibles. Le scénario sent le déjà-vu et il manque une certaine saveur à l’intrigue. Mais dans cette version jouée, Laura Filiu et Audrey Sourdive prennent du plaisir à incarner les héroïnes et ça se sent ! Elles donnent du corps à toutes les péripéties. Elles apportent du réalisme aux différentes scènes à tel point qu’on les vit à leurs côtés. Pris au piège avec elles, on ressent leurs émotions et c’est assez convaincant.
Ce thriller domestique est bien mené et l’énigme réserve quelques surprises bien pensées. J’ai vraiment adoré me laisser embarquer par cette interprétation impeccable des deux lectrices. Une fois n’est pas coutume, je vous conseille donc d’écouter ce livre plutôt que de le lire. Vous vivrez cette aventure de l’intérieur et plongerez la tête la première dans ce jeu de dupes. Il ne vous reste plus qu’à brancher votre casque et entrer dans cette famille malsaine !
https://leslivresdek79.wordpress.com/2024/08/27/957-freida-mc-fadden-la-femme-de-menage/
Ayant vu passer plusieurs chroniques sur ce roman, je l'ai emprunté à la médiathèque.
Autant vous prévenir tout de suite, ce roman est addictif. Commencé un soir vers 23H, je n'ai pas pu m'arrêter avant de piquer du nez et d'en reprendre la lecture le lendemain matin pour vite en connaître le dénouement.
Millie est une jeune femme qui vient de passer plusieurs années en prison. Sa réinsertion est plutôt chaotique et elle doit absolument trouver un emploi stable. Quand elle décroche un entretien pour un poste de femme de ménage à demeure pour la riche famille Winchester, elle fait tout pour que sa candidature soit retenue.
Millie décroche le poste et s'installe dans la magnifique demeure. Sa chambre à elle (un placard plutôt) est dans le grenier, avec une porte qui ne se verrouille que de l'extérieur. La jeune femme a fort à faire. Elle doit essuyer bien souvent les foudres de sa patronne Nina dont le comportement lui paraît bizarre psychologiquement. Elle ne comprend d'ailleurs pas comment le beau, charismatique et si gentil Andy Winchester peut supporter de vivre avec une telle épouse et supporter le comportement désagréable de leur petite fille.
Millie ignore qu'un piège vient de se refermer sur elle…
Je recommande très vivement la lecture de ce page-turner à tous les amateurs du genre.
Wilehlmina Calloway (Millie) qui vit dans sa voiture depuis sa sortie de prison (où elle a purgé une peine de dix ans) se désespère de trouver un emploi qui lui permettrait de se faire une toute petite place au soleil … Jusqu’au jour où Nina et Andrew Winchester, de (très riches) New-Yorkais lui propose un poste (logée et nourrie !) dans leur somptueuse demeure. Un boulot de femme de ménage – certes – avec option « nounou » de leur petite peste de dix ans, prénommée Cecelia. Mais au moins elle ne dormira plus repliée sur elle- même, sa voiture garée dans les rues sombres de la ville …
Alors que Millie croit – enfin – à sa bonne fortune, elle ne va pas tarder à déchanter : il y a définitivement quelque chose qui « cloche » au sein de ce foyer … Enzo le (frustre) jardinier italien lui avait pourtant susurré le mot « pericolo » dès leur premier contact ! Oui, pas de doute, quelque chose ne tourne pas rond chez les Winchester ! … Et la jeune femme – qui tient terriblement à ce travail – devra faire tellement de concessions que son doux rêve va rapidement tourner au cauchemar …
J’avoue que Freida McFadden m’a vraiment embarquée dans son intrigue machiavélique et qu’il ne m’a pas été possible de refermer son roman avant d’avoir su le fin mot de l’histoire. L’auteure maitrise on ne peut mieux son sujet ! Freida McFadden est également médecin, spécialisée dans les lésions cérébrales ! … Bref, un thriller carrément impensable à lâcher, une fois commencé … Le lecteur se dit bien qu’il y a un « loup » quelque part, mais où ???
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