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Perdre ma vie est un risque plus grand que celui de mourir

Couverture du livre « Perdre ma vie est un risque plus grand que celui de mourir » de N'Drea aux éditions Du Bout De La Ville
Résumé:

Andréa partageait sa vie avec un groupe d'amis qui, comme elle, refusaient le travail salarié et la société qui l'organise. En 1985, elle apprend qu'elle a un cancer. Après opération, rayons et chimiothérapie, elle n'a plus espoir de guérir. En 1990 on lui propose un traitement expérimental.... Voir plus

Andréa partageait sa vie avec un groupe d'amis qui, comme elle, refusaient le travail salarié et la société qui l'organise. En 1985, elle apprend qu'elle a un cancer. Après opération, rayons et chimiothérapie, elle n'a plus espoir de guérir. En 1990 on lui propose un traitement expérimental. Elle met alors à exécution une décision qu'elle avait prise depuis longtemps, celle de rompre radicalement avec le milieu hospitalier et médical, cela pour garder l'initiative de sa fin. Son choix est fait. Avec la complicité de ses amis elle fait « tout un flan d'une histoire banale ». 25 ans après, nous republions les textes qu'elle adresse à ses amis et à ses infirmières pour affirmer cette rupture.

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Avis (1)

  • Evlyne, merci d’avoir fait voyager ce livre.
    Qu’en dire ?
    Le récit d‘Andréa Doria est on ne peut plus sincère et ce qu’elle dit est réel. Pourtant, à chaque page, je ne pouvais m’empêcher de penser à Caroline, jeune femme, la trentaine, qui se bat depuis très longtemps, trop longtemps, contre...
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    Evlyne, merci d’avoir fait voyager ce livre.
    Qu’en dire ?
    Le récit d‘Andréa Doria est on ne peut plus sincère et ce qu’elle dit est réel. Pourtant, à chaque page, je ne pouvais m’empêcher de penser à Caroline, jeune femme, la trentaine, qui se bat depuis très longtemps, trop longtemps, contre un cancer. Oui, elle sait qu’elle sert de cobaye, qu’elle essaie de nouveaux traitements à chaque fois que le précédent n’a pas ou plus d’effet sur elle, elle le dit haut et fort. Caroline a l’espoir chevillé au cœur et au corps, vit, malgré deux allers-retours à Paris hebdomadaires.
    Je comprends ce qu’Andréa veut dire, je la suis dans ses propos, mais… Caroline est là vivante, aimant vivre, combative.
    Chacun lutte avec ce qui le pousse

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