80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Avec « Nous venons d'ailleurs », Daniel Bot publie donc pour la 12ème fois. Au choix, ce nouveau livre peut comme à l'accoutumée se lire d'un trait ou de façon décousue.
Son livre est comme un signe des temps, de ses fragilités, de ses incertitudes, de leur ampleur qui alimente une forme ambiante de stress grandissant, de fermetures d'esprit et dont l'inscription va s'imprégnant dans le quotidien.
Entre autres, l'auteur tente de proposer l'importance de tirer enseignements du passé et du présent pour regarder en face la marche de plus en plus claudicante de notre monde.
Daniel Bot défend que les gens composant la population valent mieux que cela. À sa façon, gravement, avec humour aussi, l'auteur propose des réflexions, des poésies, des nouvelles qui ne manquent donc pas d'offrir beaucoup de respirations, d'espérances. Il propose qu'au-delà de sombres nuées il existe des voies éclairées, une quête possible vers des cieux étoilés.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", nous explique Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année