80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Le terme « lyrique » désigne, depuis bientôt deux siècles, deux phénomènes distincts et souvent confondus. Il renvoie à la trame affective en poésie et à la notion de « lyrisme », apparue vers 1830, chargée de connotations négatives. Peut-on, dès lors, écrire de la poésie lyrique sans être dans le lyrisme? Ce questionnement est sans cesse reconduit à l'horizon d'une « modernité » poétique marquée par la distanciation de soi, la maîtrise des passions et la dignité publique.
La critique détaillée de deux auteurs permet de dépasser certaines oppositions convenues pour entrer dans les nuances paradoxales et emblématiques des théories ou des pratiques. L'oeuvre de Max Jacob, que l'étude présente sous une cohérence nouvelle, montre combien les approches formalistes et ironiques peuvent s'allier à un renouvellement de la communication affective. De manière similaire, les perspectives scientifiques de Francis Ponge donnent les moyens de saisir les tensions d'une poésie moderne qui maintient sa dominante lyrique.
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