"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dans le parking souterrain d'un bel immeuble résidentiel, les serrures de deux voitures ont été forcées.
Une comptabilité truquée a été dérobée, elle compromet un homme d'affaire peu scrupuleux, actif dans l'horlogerie de luxe. Sous pression, l'industriel engage Angel, un ancien mafieux amoureux de sa voisine et grand défenseur des animaux, pour lui prêter main forte et se débarrasser du maître-chanteur.
Les malfrats ont aussi fait main basse sur des dossiers confidentiels liés à une menace terroriste. La police judiciaire est sur les dents et déploie des moyens très particuliers pour retrouver ces données sensibles. Leur enquête les met sur la piste du Serpent, chef du crime organisé lyonnais. Mais ce dernier couvre ses arrières et mandate un certain Nono pour faire le ménage, un professionnel perfectionniste qui élimine les témoins gênants avec un art maîtrisé de la mise en scène.
Entre les petits voleurs, les gros truands, les tueurs à gage et les repentis de la Ndrangheta, les coups vont pleuvoir.
Quant aux forces de l'ordre, elles n'ont pas dit leur dernier mot. Une procureure irrésistible, un commissaire séduit et des équipes de part et d'autres de la frontière franco-suisse interviennent pour faire tomber les masques.
Chacun est prêt à tout pour obtenir ce qu'il veut : piéger, mentir et manipuler. Dans ces conditions, il reste peu de place pour les cas de conscience...
Lecture prenante sans tomber dans l'effusion de sang.
"Plusieurs voitures ont été fracturées. Une comptabilité truquée, qui compromet un homme d'affaires peu scrupuleux, a été dérobée. Pour se débarrasser du maître-chanteur, l'industriel engage Angel, un homme au passé trouble. Des dossiers liés à une menace terroriste ont également été volés dans un autre véhicule. La police judiciaire déploie des moyens particuliers pour retrouver ces données sensibles. L'enquête mène sur la piste du Serpent, chef du crime organisé lyonnais. Mais, pour faire le ménage, ce dernier mandate un professionnel qui élimine les témoins gênants avec un art maîtrisé de la mise en scène." (4ème de couverture)
Je ne sais plus ce qui m'avait tenté dans ce polar, à la lecture rapide de la 4ème de couverture, parce que je les lis rapidement -parfois pas du tout- pour garder un maximum de surprise. Mais en la recopiant ici, je m'aperçois qu'elle porte en elle ce que je n'ai pas aimé dans ce roman : fadeur, banalité et pas d'implication.
Dans le livre, l'auteur a une excellente idée celle de diversifier les narrateurs qui parlent tous à la première personne et qui ajoutent des briques à l'histoire que l'on reconstitue petit à petit. Mais il se perd aussi dans des considérations psychologiques et dans des détails qui ne servent que peu le récit, l'allongent et le diluent. Dommage, il y a de l'idée, mais une certaine froideur, un manque de lien, un manque d'incarnation qui me gênent.
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