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Après Le Ministère des ombres qui mettait en scène la chute de Nicolas Fouquet, Un prince doit venir qui racontait l'assassinat du duc d'Enghien, Pierre Lepère achève sa trilogie des grands perdants de l'Histoire avec Marat ne dort jamais. Il faut tout le talent de conteur et l'art d'écrire de Lepère pour réussir à nous plonger dans l'époque troublée de la Convention et rendre vivants ces personnages que les manuels scolaires ont réduits à des images simplistes : qui ne connaît celle de Marat assassiné dans sa baignoire par Charlotte Corday ? Une légende noire s'attache à Jean-Paul Marat. Le savant admiré par Goethe, le penseur polyglotte, disciple de Montesquieu, le journaliste infatigable, l'homme souffrant dont le peuple disait qu'il ne dormait jamais pour mieux veiller sur lui, sont soigneusement occultés au profit de sa caricature. En revanche, la légende blanche de Charlotte Corday n'a jamais cessé d'être célébrée. On continue à voir en elle une nouvelle Jeanne d'Arc dont l'attentat aurait sauvé la France. La réalité est plus contrastée. La mort de Marat n'a-t-elle pas ouvert une voie royale à Robespierre et permis l'instauration de la Terreur ? Une légende intime éclaire aussi cette histoire. Un homme semble avoir touché le coeur de Charlotte Corday : le beau Charles Barbaroux, ancien élève de Marat devenu ensuite un de ses pires ennemis. La rencontre du député girondin, réfugié à Caen après la chute de son parti, et de la vierge de fer nourrie de feuilletons politiques, a peut-être déterminé tout ce qui a suivi.
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