Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Le 15 décembre 1856, Proudhon met la dernière main à la refonte d'un ouvrage paru quelques années auparavant de façon anonyme, et rédigé alors pour des besoins essentiellement alimentaires : Le Manuel du Spéculateur à la Bourse. En plein Second Empire, Proudhon assiste impuissant à la prénétration des moeurs et de l'agir boursiers dans l'ensemble des activités humaines. C'est l'esprit de la Bourse qui se répand sur le monde ! Proudhon, à partir du moment où il a décidé de publier l'ouvrage sous son nom, cherche à montrer que si la Bourse est l'institution centrale des nouvelles féodalités industrielles où les actions humaines se coordonnent en dressant les individus les uns contre les autres, l'associationnisme ouvrier, quant à lui, pourrait être le moyen d'une véritable action collective où se manifesterait le mutuellisme, c'est-à-dire la réciprocité et la justice dans les échanges. Le Manuel signe ainsi, en même temps qu'il peint au vitriol les comportements, les manoeuvres, les mécanismes boursiers, l'acte de naissance du mutuellisme proudhonien.
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