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Au Mamma Maria, ce bar du sud de l'Italie, il y a toujours quelqu'un. Il y a ceux qui viennent tuer le temps qu'il leur reste avant que le temps ne les tue. Il y a les enfants qui rêvent devant le comptoir à glaces. Il y a les « trop pressés » qui passent juste pour un café, bu debout au comptoir, parce qu'ils se poseront, malgré tout, toujours quelques minutes chez Maria. Et, il y a les ados qui sirotent un soda, les joueurs de scopa, le curé.
Chez Maria, On vient chercher du réconfort et de la bonne humeur. On vient échanger quelques mots, partager un apéro, esquiver la solitude.
Et il y a aussi Sofia qui, depuis la terrasse face à la mer, traduit des romans et essaie de ne pas trop penser à la vie parisienne qu'elle vient de quitter.
Maria mène tout ce petit monde à la baguette, râle beaucoup. C'est la mamma de tout ce petit village tranquille.
Tranquille jusqu'au jour où...
Sofia est une jeune italienne qui après une rupture amoureuse décide de quitter la France et de retourner dans son village natal en Italie.
Elle s'nstalle dans la maison de sa grand'mère et reprend les habitudes du village : se réunir dans le café de Mamma Maria, figure locale .
Tout le monde s'y retrouve, vieux, jeunes, l'ambiance y est plus qu'agréable .
Quand un matin, le vieux Franco n'est pas au rendez-vous tout le monde est inquiet et l'un d'entre eux va aller jusque chez lui afin de se rassurer mais Franco ne veut pas ouvrir et demande à voir Sofia .......
Jusque ce moment le livre m'a enchanté mais après je n'ai pas apprécié le mélange roman/ politique.
Ce qui n'enlève rien des talents de Serena Giuliano.
"Mamma Maria" est un roman qui suit l'histoire de Sofia, une jeune femme qui retourne en Italie pour découvrir les secrets de sa famille et renouer avec ses racines.
Le style d'écriture de Giuliano est simple et direct, avec des dialogues vifs et réalistes. Les personnages sont bien développés et attachants, en particulier Mamma Maria, qui est un personnage fort et indépendant. Les descriptions des paysages italiens et de la nourriture sont également très évocatrices et donnent envie de voyager et de goûter aux plats délicieux mentionnés dans le livre.
Le thème principal du livre est la famille et les liens qui unissent ses membres, même lorsque des secrets et des mensonges ont été cachés pendant des années. Le livre explore également les thèmes de l'identité culturelle, de l'immigration et de la recherche de ses racines.
C'est un livre agréable et divertissant et si vous êtes fan de littérature italienne et de romans sur la famille et l'identité culturelle, vous aimerez certainement ce livre.
Quel fabuleux voyage nous propose Serena Giuliano dans ce roman MAMMA MARIA ! Moi qui adore lire pour m’évader et découvrir de nouveaux horizons, j’ai été comblée ! Serena nous emmène à la découverte de la Côte amalfitaine : le village de Sofia (son héroïne) Vietri sul Mare, Erchie, Praiano, Cetara, Amalfi et bien d’autres merveilles de l’Italie !
Mais le talent de cette auteure ne s’arrête pas là … dès le début du roman, on est transporté par l’histoire et le passé de ces personnages « troublants » : Maria et Sofia (évidemment), mais aussi Franco, Souma, Mustafa et les autres ! Je ne vous en dévoile pas plus … et vous laisse savourer cette histoire par vous-même !
J’ai beaucoup apprécié cette histoire car elle évoque un sujet d’actualité au combien « épineux » … celui des migrants et du regard porté sur eux. Impossible de ne pas s’attacher au petit Mustafa et à sa maman. Enfin, la relation de Sofia avec sa Nonna m’a rappelé celle que j’entretenais enfant avec mon propre grand-père …
Un grand merci Serena pour ce voyage en Italie et ces bons moments de lecture ! C’était le premier de vos romans que je lisais … et ce ne sera sûrement pas le dernier !
Ayant déjà goûté à la plume pleine de soleil de Serena Giuliano, moi l’amoureuse de l’Italie, j’ai lu avant-dernier roman “Mamma Maria” juste avant de découvrir le dernier roman paru cette année, “Un coup de soleil” (qui fera l’objet d’un autre post).
Le sujet : Sofia quitte Paris pour retrouver son village natal du sud de l’Italie. Sur le coup d’une rupture amoureuse, elle vient chercher le réconfort parmi ceux qui l’ont toujours connue, ce qu’elle trouvera au café de Mamma Maria : « ici, on vient échanger quelques mots, partager un apéro, esquiver la solitude ou écouter Celentano ».
Là Maria mène tout son petit monde à la baguette, là les jours passent et se ressemblent jusqu’au jour où un événement vient bousculer la petite communauté.
Un voyage express sur la côte amalfitaine où l’on découvre de superbes paysages (ayant la chance de connaître cette superbe région, je peux vous assurer qu’il n’y a rien d’exagéré) et tout ce qui fait, aussi, l’Italie, cappuccino, limoncello, mozzarella …
On ressort heureux de ce roman généreux, lumineux, plein d’amitié et de solidarité.
D’aucuns regretteront peut-être le manque de contraste dans l’intrigue, la vision plus que positive, un monde presque idéalisé mais qu’importe …
Un roman à recommander pour se faire plaisir, sans enjeux ni attentes, un roman ensoleillé et plein d’amour qui fait du bien tout simplement.
http://monmondedevasions.com/serena-giuliano-mamma-maria/C’est avec plaisir et délectation que j’ai retrouvé la plume de Serena Giuliano.
Son second roman est totalement différent du premier, on y retrouve toutefois cette façon de parler caractéristique, à la fois directe et drôle.
Il nous fait voyager en Italie dans la région de Naples et sur la côte Amalfitaine. Cette lecture donne tellement envie d’aller visiter ce petit coin de paradis! Le jour où je me lance dans le voyage, j’ai bien l’intention d’aller visiter chaque petit village décrit dans ce roman. Je les ai d’ailleurs tous notés pour être sûre d’en oublier aucun!
L’histoire de Sofia, de Maria ainsi que tous les villageois nous interpelle. On s’attache très vite à tous ces personnages.
L’auteur aborde des sujets très sérieux mais toujours avec une pointe d’humour et de façon un peu décalée. Ce qui n’en rend l’histoire que plus intéressante.
Bref, c’est un pur bonheur de lecture sur fond de plats italiens tous plus alléchants les uns que les autres.
Côte Amalfitaine, en Italie. Sofia est revenue au village après une déception amoureuse. La voilà désormais dans la maison de sa nonna, cette aïeule disparue bien trop tôt à son goût. Comme souvent pour ces grand-mères si attachantes qui tiennent la place que n’ont pas su occuper les mères.
Au café de Maria, elle respire au rythme de la vie du village et de ses habitants, pour la plupart ses amis, quel que soit leur age. Car ici les amis sont des personnes, pas des jeunes ou des vieux.
Jusqu’au jour où le vieux Franco n’est pas au café pour son rendez vous matinal. Tous s’inquiètent, Sofia va vite découvrir la raison de sa disparition volontaire. Une jeune femme enceinte et son fils, migrants rescapés mais échappés du centre de rétention, se sont cachés chez lui. Comment et qui peut les aider, voilà bien ce que devra résoudre Sofia dans le plus grand secret, enfin très relatif ce secret, nous sommes en Italie tout de même, dans ce pays où la parole et les gestes font partie de la vie.
À partir de là, les bons sentiments mais aussi les tensions vont s’exercer pour le pire mais surtout pour le meilleur. Alors bien sûr quelques personnages sont un peu trop caricaturaux, comme Maria si méchante avec sa belle fille, et Sofia trop naïve parfois. Et ce groupe de petits vieux qui n’ont rien à envier à la troupe des vieux fourneaux. On retrouve aussi quelques poncifs un peu trop stéréotypés et des bons sentiments à la pelle. Mais avouons que ce genre de roman fait du bien. Comme une respiration de vacances qui fleure bon la mozzarella di buffala, les pasta al forno, le Limoncello et le basilic frais
chronique complète en ligne sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2021/08/13/mamma-maria-serena-giuliano/
Un roman sympathique et agréable à lire.
D'autant qu'il se passe en Italie.
Sofia, jeune femme revenue au pays après une déception amoureuse, et Maria, veuve propriétaire du bar du village, se relaient pour nous raconter l'histoire.
D'accord c'est truffé de bons sentiments, voire de clichés, mais les personnages sont extrêmement sympathiques.
Et puis ce bar tenu par Maria, râleuse au grand cœur, on rêve d'y aller et de boire un amalfitano.
Un spritz fait avec du limoncello à la place de l'apérol.
Que ça doit être bon, je vais tester à défaut de pouvoir me rendre en Italie pour l'instant.
Un bon moment donc au bord de cette côte amalfitaine.
Ce ne sont pas les qualités littéraires, correctes mais sans plus que je retiendrai, mais surtout l'ambiance italienne qui m'a ravie.
Elle s'appelle Maria et dans son village tout le monde la connaît et elle connaît tout le monde. Et pour cause, c'est dans la café qu'elle tient que tout le monde vient se ressourcer, physiologiquement et psychologiquement. Ça tombe bien d'ailleurs car c'est ici justement que Sofia, de retour dans son village natal après une rupture amoureuse, a décidé d'y passer son temps dans l'espoir de se retrouver.
Il faut dire que Maria, cette femme au caractère bien trempée et à la langue bien pendue, sait se montrer attentive aux êtres qui lui dont chers et, en bonne "mamma" italienne sait que l'esprit a partie prenante avec les plaisirs du palais.
Parviendra-t'elle a apporter du réconfort à Sofia? Celle-ci trouvera-t'elle les réponses à ses questions?
Découvrez-le en vous installant à une des tables du Mamma Maria où Maria vous accueillira chaleureusement et généreusement. Observez les allées et venues des différents personnages qui le fréquentent et prenez un bain de soleil, voyage au coeur de l'Italie garanti.
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