80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« Je m'adresse à toi, qui te sens désemparé et dont la parole est insignifiante. C'est terrible comme parfois on peut se sentir seul tout en ayant du monde autour de soi. C'est comme si je me mettais à hurler à l'aide au milieu d'une pièce tellement remplie de personnes, que mon cri n'atteignait pas le niveau sonore suffisant pour surpasser le brouhaha qu'elle renferme. La plupart des gens ne m'entendent pas, et ceux qui sont tout près ne voient pas de raison apparente de s'inquiéter. Ils ne comprennent pas ma détresse, et donc pour eux, elle n'existe pas réellement. Ils n'ont pas de temps à perdre avec moi pour quelque chose qui n'est pas réel à leurs yeux ou sur lequel ils n'ont pas de pouvoir ; il est alors préférable de m'ignorer. ».
La maladie a souvent de multiples facettes ; elle nous ôte la santé, la joie de vivre, et parfois même tout ce que l'on croyait posséder. Elle nous laisse face au néant... mais heureusement une lumière brille...
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