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La révolution informationnelle, au-delà des transformations sociétales qu'elle induit, nous confronte à une nouvelle réalité marquée par une domestication intensive et rationalisée de la connaissance.
L'accès au savoir se voit ainsi systématisé et pleinement démocratisé mais est-on plus à même de mieux décider, d'agir plus efficacement, en un mot devient-on plus opératif sachant mieux et opportunément ? Cet ouvrage montre comment, dans le couple savoir-action, la maîtrise du savoir peut aider à mieux contrôler la conduite de l'action et à en optimiser les effets. Ceci n'est rendu possible que par une analyse des modes d'appréhension de la réalité de l'univers et une réflexion sur les dimensions qui peuvent s'attacher à la connaissance.
On montre par ailleurs comment certaines modalités de représentation de l'univers d'action peuvent participer à l'efficience de l'action. Il en découle de nouvelles attitudes qui génèrent de nouvelles exigences, manifestées par une formalisation rigoureuse et de nouveaux modes opératoires dans la modélisation du connaître. On s'est ainsi attaché à montrer comment on pouvait mieux instrumentaliser la maîtrise du connaître en rendant compte de façon fine de la connaissance imparfaite et aussi en se dotant de moyens appropriés pour qualifier l'information, notamment par une formalisation de la pertinence de l'informationnel.
Toute cette démarche s'inscrit dans la perspective d'ouvrir de nouveaux champs d'action et d'aider au développement des stratégies de la connaissance.
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