"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'homme qui tire plus vite que son ombre Avec pour seul compagnon son cheval Jolly Jumper, "l'homme qui tire plus vite que son ombre" fait régner l'ordre et la justice dans un Far-West de fantaisie mille fois plus vrai que le vrai. Poursuivant les terribles frères Dalton ou croisant la route de divers personnages historiques, Lucky Luke nous fait découvrir dans la bonne humeur les dessous de la conquête de l'Ouest.
Ce premier épisode de Lucky Luke paru dans Spirou en 1947 est bien différent des épisodes de ce début de millénaire. Morris a créé un personnage au caractère de justicier, un redresseur de torts, un défenseur de la veuve et de l’orphelin. Dans ce premier opus composé en réalité de deux histoires différentes, Lucky Luke aide un vieux chercheur d’or, dont le trésor a été dérobé par deux desperados. Avec beaucoup de chance et sans utiliser son revolver qu’il maniera bien des fois quelques années plus tard, il rend justice à sa manière, sauf à la fin où son sosie l'oblige à l'abattre froidement.
Le dessin est bien différent des Lucky Luke habituels. Le personnage est plus en rondeur et on reconnaît dans ces premières planches l’influence du dessin animé sur Morris avec des scènes très cinématiques. Son fidèle cheval, Jolly Jumper, a des traits plus durs et n’est guère éloquent dans ces épisodes. Les histoires sont simples et amusantes.
Morris pose les bases d’un succès international en utilisant la mode de l’époque : le Far-West.
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