Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
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Pierre Lemaitre m’a emporté, une fois de plus, dans une formidable aventure avec la famille Pelletier. Dans ce troisième livre qui lui est consacrée, après Le Grand Monde et Le Silence et la Colère, l’auteur de Au revoir là-haut ajoute une suite aux Trente Glorieuses et cela ne me semble pas vraiment terminé.
Nous sommes le 19 avril 1959, au Plessis-sur-Marne, à trente kilomètres de Paris, où Louis et Angèle Pelletier se sont installés depuis qu’ils ont quitté Beyrouth et leur fameuse savonnerie.
Colette, la fille de Jean et Geneviève grandit toujours chez eux pour la protéger de cette dernière, cette Geneviève qui va se distinguer tout au long du récit…
Au début, j’ai un peu de mal à me remettre en tête les éléments de cette famille réunie. Je pense qu’un petit arbre généalogique serait utile dès le début du livre. Les trois enfants de Louis et Angèle sont là : Jean, l’aîné, dit Bouboule, et François qui est journaliste, comme Hélène, enceinte de quatre mois. Il y a aussi leurs conjoints et quelques petits-enfants ; ce sont Colette et Philippe, enfants de Jean et Geneviève dont Pierre Lemaitre parlera le plus.
D’emblée, l’auteur prouve une fois de plus qu’il est un as du débat familial et qu’il maîtrise admirablement l’humour mais, le drame ne va pas tarder et je suis complètement absorbé par un récit bien lancé, récit concentré dans un temps très court, un mois à peine.
Dès le début, j’aurais aimé voir Colette s’épanouir avec ses abeilles. Hélas, Macagne, l’horrible voisin, est à l’origine d’une tension abominable, terrible, qui conditionne une bonne partie de l’intrigue.
Entre rapidement en scène un certain Georges Chastenet, maître espion à la Direction générale du renseignement. C’est lui qui va mener une opération périlleuse dans laquelle François Pelletier sera impliqué.
Pierre Lemaitre affirme, là, une fois de plus, son grand talent, en donnant la parole à cet as du renseignement, en lui permettant de décider, même les plus réticents… du grand art.
Comme la belle photo qui orne la couverture du livre, montre le fameux Pont Charles, à Prague, il est évident qu’une partie de l’histoire se passe là-bas, de l’autre côté du Rideau de fer, dans un pays du bloc de l’Est, sous l’emprise de l’Union soviétique dont certains sont nostalgiques aujourd’hui. N’oublions pas que nous sommes en 1959 et qu’il faudra encore trente ans pour voir s’épanouir la liberté dans ce pays qui s’appelle la Tchécoslovaquie.
Entre belles descriptions de Prague, au cœur de la vieille ville et de ses ruelles et l’émotion d’une vie qui s’en va, Pierre Lemaitre jongle habilement et relie tout ça remarquablement.
Au passage, je note un bel hommage à Macha Béranger par l’intermédiaire d’Hélène qui innove, la nuit, à la radio, en donnant la parole à des auditeurs.
Jusqu’à la fin de Un avenir radieux, l’auteur réserve des surprises, des coups de théâtre, prouvant, au passage, la vacuité du langage officiel lorsque Nine, l’épouse de François, se rend au Quai d’Orsay.
Enfin l’épilogue, je vous rassure, n’est pas si mal, mais il laisse espérer d’autres événements, d’autres aventures dans cette famille Pelletier car un certain Jean… je n’en dis pas plus !
Chronique illustrée à retrouver ici : https://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/2025/03/pierre-lemaitre-un-avenir-radieux.html
Notre agent à Prague
Dans le troisième volet de sa saga, Pierre Lemaitre va nous entraîner dans la France de 1959, mais aussi derrière le rideau de fer, à Prague. Flirtant avec les romans d’espionnage situés durant la Guerre froide, cet Avenir radieux est LE roman à lire absolument !
Avouons-le, ils ne sont pas nombreux les auteurs qui nous offrent la certitude d'un bonheur de lecture à chaque parution. Pierre Lemaitre fait partie de cette rare catégorie. Vous pourrez m'objecter que cette appréciation est facile s'agissant du troisième volume d'une tétralogie, puisque les premiers tomes de la saga, Le Grand Monde et Le Silence et la Colère en ont donné le ton. Certes, mais il n'est pas question de bouder notre plaisir à retrouver la famille Pelletier en 1959.
À 71 ans, Louis Pelletier, le patriarche est rentré en France après avoir cédé sa savonnerie de Beyrouth. Il a acheté une grande propriété au Plessis-sur-Marne où, aux côtés de sa femme Angèle, il peut accueillir enfants et petits-enfants. Parmi ces derniers, Colette occupe une place à part. La fille de Jean et Geneviève réside en effet chez ses grands-parents et c'est avec elle que s'ouvre ce troisième volet. La fillette s'est passionnée pour l'apiculture, mais constate que ses abeilles meurent les unes après les autres. Elle va découvrir l'origine de cette hécatombe chez son voisin Macagne qui aligne les bidons d'insecticide dans son garage. Surprise en train de les vider, la gamine sera agressée sexuellement par cet homme aussi rustre que violent. Un traumatisme dont Colette aura bien du mal à se défaire et qui va conduire Geneviève à la retirer à ses beaux-parents et lui faire partager une chambre avec son frère Philippe, son chouchou jusque-là, mais qui devoir désormais subir lui aussi les humeurs d’une mère acariâtre.
Comme toujours son mari Jean, dit Bouboule, n'aura rien à dire. Cependant, on va voir au fil du roman l'homme mal dans sa peau se rebiffer. Il va rencontrer de grands patrons et se voir proposer une place au sein de leur comité. Sans oublier l’invitation qui lui sera faite de suivre la délégation française invitée à Prague pour découvrir les fleurons de l'industrie tchécoslovaque. Il pense enfin tenir sa revanche.
D'autant que son frère François sera aussi du voyage. Le grand reporter du Journal du soir et cofondateur de l'émission télé « Edition Spéciale » va se joindre au groupe pour avec une équipe de tournage. Mais en fait, sa présence est due à un marché passé avec un certain Georges, membre des services secrets. En échange d’un reportage publié une fois l’affaire terminée, il devra laisser sa place à un agent double et se réfugier à l’ambassade de France dans l’attente d’un visa consulaire.
Il est aussi exigé de sa part qu’il ne dise pas un mot de cet accord à sa femme Nine qui s’épanouit dans son atelier de reliure. Dans ce panorama des protagonistes, on n’oubliera pas Hélène, la sœur de François, qui travaille à la Radio Parisienne. Si on reconnaît sans mal « Cinq colonnes à la une » derrière l’émission de François, on aura le choix entre Macha Béranger et Ménie Grégoire pour l’émission que lance Hélène après avoir été consignée au courrier des lecteurs.
Mais n’en disons pas davantage, sinon pour souligner combien Pierre Lemaitre parvient à rendre cette époque de la Guerre froide où tous les pays de l’est étaient truffés de police politique et d’espions. Comme à chaque fois, toute la palette des émotions – amour, haine, jalousie, convoitise, violence, vengeance, sexe, peur – vient enrichir le récit. Autour de la table familiale sont aussi traités les sujets de société et les progrès technologiques qui poussent durant ces Trente Glorieuses, sans oublier les soubresauts politiques.
On a beaucoup dit que l’auteur s’inscrivait dans la lignée des grands feuilletonnistes et on aura bien raison. Surtout dans la construction, très rythmée et pleine de rebondissements qui font qu’il est bien difficile de poser le livre une fois entamé.
Vous verrez, la soixantaine de chapitres défilent si vite que vous n’aurez qu’une seule envie en refermant le livre, découvrir au plus vite le quatrième volume de de cette saga !
NB. Tout d'abord, un grand merci pour m'avoir lu jusqu’ici ! Sur mon blog vous pourrez, outre cette chronique, découvrir les premières pages du livre et en vous y abonnant, vous serez informé de la parution de toutes mes chroniques.
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C'est toujours un grand plaisir de plonger dans un roman de Pierre Lemaître et de découvrir la suite de l'existence de la famille Pelletier.
Et on peut dire que ce tome démarre fort avec Colette, la fille de Jean et Geneviève, qui vit avec Angèle et Louis à Beyrouth et qui va voir son existence chamboulée et son enfance pulvérisée par son retour en France, à quelques kilomètres de Paris et de ses parents.
Ce roman est de nouveau extrêmement bien documenté et nous plonge dans la France des années 59 alors qu'un nouveau danger pour les populations a fait son irruption sous la forme du nucléaire. Il déroule également un destin inexorable pour nos personnages qui restent fidèles à eux-mêmes et qui vont vivre des moments difficiles qui laisseront des stigmates.
Ainsi, Pierre Lemaître, tel Émile Zola à son époque, continue de peindre une fresque humaine qui ne finit pas de nous intéresser.
Il était attendu, et il ne dément pas la série : Un avenir radieux entre totalement dans le moule de la chronique du vingtième siècle née de la plume de Pierre Lemaître. On retrouve avec un grand plaisir les personnages que l’on a laissés quelques années plus tôt, l’odieuse Geneviève, et son raté de mari, qui cache bien son jeu, La douce et déterminée Nine, qui se révèlera dans ce tome, Louis et Angèle, vieillissants. On sent aussi que la relève est prête, Colette est là !
Sur un fond de guerre froide et d’espionnage, la famille Pelletier vit des années de transition, et évolue doucement dans le carcan social qui l’abrite et la définit.
Les personnages sont suffisamment nombreux pour que l’on ne s’ennuie pas une seconde, que l’on se délecte des frasques de Geneviève, seule personnage féminin antipathique, mais indispensable.
Enfin, Pierre Lemaître évoque l’ambiance kafkaïenne de la Tchécoslovaquie, dont fera les frais le pauvre François, nous laissant craindre pour ses jours.
Il ne reste plus qu’à attendre une douzaine de mois pour connaître la suite…
592 pages Calmann Lévy 21 janvier 2025
Toujours un grand plaisir de retrouver la famille Pelletier, cette fois-ci dans les années 50.
Les grands-parents sont rentrés en France et vivent à la campagne avec leur petite fille Colette. La vie est douce et heureuse, mais Colette va être victime d'agression sexuelle et n'osera pas se confier.
Ses parents, jean et Geneviève vivent à Paris avec son petit frère Philippe adulé par sa mère. Geneviève toujours égale à elle-même, manipulatrice ne vit que pour faire souffrir les autres. Jean essaie de se faire respecter mais sa colère et sa rage vont encore faire des ravages.
François est contacté par la Direction Générale du Renseignement Français pour une mission secrète et très dangereuse . Il doit accompagner une délégation d'industriels à Prague et sous couvert d'un reportage, exfiltrer un agent en danger.
Cette partie là est la plus intéressante, passionnante et pleine de suspense.
Hélène est animatrice d'une radio. Son émission est diffusée en direct la nuit. Elle prend chaque soir un auditeur en ligne sur des sujets différents. Elle est enceinte de son deuxième enfant.
Le début du récit traîne un peu en longueur et puis nous nous laissons happer par cette famille et leurs péripéties.
L'auteur a fait d'énormes recherches et évoque la menace nucléaire, les violences sexuelles, le réchauffement climatique et l'agriculture intensive. Les personnages sont toujours très bien décrits.
Je ne raconte pas plus afin de laisser les futurs lecteurs découvrir par eux-mêmes cette suite familiale.
J'ai passé un excellent moment, mais je suis un peu déçue du style d'écriture que je trouve moins travaillé.
On ne va pas se le cacher, depuis que j'ai découvert la plume de Pierre Lemaitre avec sa trilogie "Les enfants du désastre", j'attends toujours avec une grande impatience année après année les publications de l'auteur.
Lorsque les éditions Calmann-Levy m'ont proposé de découvrir en début d'année "Un avenir radieux", le petit dernier de la famille, j'ai été très heureuse et touchée, car je me suis beaucoup attachée à la famille Pelletier dont j'ai tendance à oublier qu'ils sont des personnages de fiction au point même que ça devienne source de taquineries de la part de mon époux
Pierre Lemaitre, sorte de Zola du XXe siècle, poursuit sa saga familiale et populaire en déroulant sa grande fresque historique. Après « Au revoir là-haut » qui débutait pendant la guerre de 14-18, nous voici, avec ce dernier tome, plongés dans les trente glorieuses, à partir de l’année 1959.
C’est avec plaisir que j’ai retrouvé certains des personnages de la famille Pelletier. Les trois enfants, Jean, François et Hélène, ont, à leur tour des enfants qui vont nourrir ce roman et, on le devine, les suivants.
« Un avenir radieux » débute avec la petite Colette, fille de Jean et de l’odieuse Geneviève. Victime d’une agression sexuelle, la gamine de 10 ans va garder le secret. Elle vit heureuse chez ses grands-parents, Louis et Angèle, dans une grande maison au Plessis-sur-Marne lorsque sa mère maltraitante décide de la reprendre sous son aile en la ramenant à Paris. Colette retrouve son frère Philippe, le fils gâté par sa mère. Les deux enfants vont faire les frais des principes éducatifs de leur mère experte en sévices psychologiques. Colette et Philippe ne sont pas au centre du roman, mais j’ai été touchée par leur condition d’enfants maltraités et je subodore que le prochain tome fera la part belle à la petite Colette qui, déjà, a vécu des expériences traumatisantes mais qu’on sent déterminée à prendre sa revanche.
« …toute la famille, Colette la première, tremblait à l’idée de ce qui pourrait arriver si Geneviève se décidait à réclamer ses droits sur ce qu’elle nommait « sa progéniture »
Ce qu’évidemment elle ne tarda pas à faire.
Lors de ses visites, elle manquait rarement d’évoquer me moment « très prochain » où sa fille devrait « revenir à la maison ».
Si j’ai beaucoup apprécié l’évolution de Colette, en revanche, le personnage de sa mère Geneviève m’a parfois agacée. Plongée dans ses prédictions astrologiques, égoïste, manipulatrice et méchante comme une teigne, elle vire parfois à la caricature de la mégère façon Thénardier. Trop, c’est trop et, parfois, elle finit par nous lasser par ses excès de rosserie.
Le « clou » du roman, c’est évidemment cette histoire d’espionnage qui va nous mener en Tchécoslovaquie en pleine guerre froide. François, qui accompagne une délégation d’industriels français en tant que journaliste de la première émission télévisée d’information, va servir de prétexte pour exfiltrer un espion au service de la France qui se trouve en mauvais e posture. Pierre Lemaitre s’est inspiré des romans d’espionnage du célèbre et ancien espion John Le Carré pour composer ses personnages plus vrais que nature dont Georges Chastenet, officier traitant à la Direction générale du renseignement français.
Cette exfiltration, montée dans l’urgence, va être riche en rebondissements. L’intrigue, savamment ficelée, nous tient en haleine jusqu’au dénouement.
Il faudrait aussi évoquer Hélène, moins présente que dans le tome précédent, mais dont la carrière à la radio m’a beaucoup intéressée. Animatrice d’une émission radiophonique durant les heures de nuit, elle a l’idée d’instaurer un contact direct avec les auditeurs, et c’est un succès.
Ce roman, riche en péripéties et retournements de situations, est fort bien documenté. Il suffit d’aller à la page des « reconnaissances » pour se rendre compte de la masse de documentation que l’auteur a compulsé, et qu’il a complétée d’un voyage à Prague. Malgré cela, l’histoire m’a laissé comme un goût d’inachevé. Bien sûr, on retrouve la dimension sociale, politique des trente glorieuses, mais j’ai trouvé que le début traine en longueur avec des redites et que la verve de l’auteur n’est pas au mieux de sa forme. J’avoue que, même si j’ai lu avec plaisir ce tome, j’attendais davantage de l’écrivain passé maître (sans jeu de mots) dans le récit de tribulations familiales sur fond d’histoire et d’enjeux sociétaux.
Un avenir radieux pour le troisième tome de cette future tétralogie (et peut-être pentalogie) de Pierre Lemaitre correspond aux pays derrière le rideau de fer. Dans cette France de l’année 1959, la famille Pelletier poursuit son évolution. Et c’est Jean, dit Bouboule à la colère plus que dévastatrice, qui pourrait nous faire découvrir l’ambiance de la guerre froide. Un voyage d’entrepreneurs méritants accompagnés par une équipe de télévision en Tchécoslovaquie transforme cette aventure dans le monde de l’Est en récit d’espionnage. Et ce n’est pas Jean, mais François, le cadet, journaliste intègre, qui est au cœur de cet aspect du roman.
Chaque Pelletier aura son heure de gloire dans ce roman. Les géniteurs, Louis et Angèle, ont déménagé de Beyrouth pour s’établir au Plessis. La condition physique de Louis se détériore, tandis qu’Hélène, la benjamine de la famille, conçoit un concept novateur : la radio interactive.
Jean imagine des franchises commerciales, mais le risque est ailleurs. François, le reporter critique, se déploie pour un hommage à John Le Carré. Geneviève, la femme de jean, ne change pas, elle est toujours aussi méchante et intéressée. Et Nine, la femme de François, est celle qui a le plus d’acuité malgré sa surdité, sur chacun des membres de cette famille, que nous suivons depuis le début.
La relève avec les petits-enfants arrive déjà. Colette, martyrisée par sa mère, Geneviève, est au début encore protégée par ses grands-parents. Elle va comprendre rapidement en dépassant un traumatisme son caractère affirmé. Philippe, l’enfant roi jusqu’à 7 ans, devra apprendre à grandir, lui aussi.
Pierre Lemaitre excelle à nous captiver avec cette famille, en entrelaçant habilement leur histoire avec celle de la France et une analyse sociologique approfondie de l’époque. Le récit offre une immersion dans l’évolution sociétale française, mêlant la libération féminine, l’essor économique d’après-guerre, et les tensions idéologiques entre occident et communisme, l’explosion de la technologie ménagère et la consommation sans frein ! Bref, difficile de résumer ces plus de cinq cent cinquante pages…
Prenez un week-end pluvieux, une couverture sur vos jambes, une tasse d’une boisson brûlante juste à côté et ouvrez Un avenir radieux. Alors, laissez-vous prendre par la main par Pierre Lemaitre, en personne, et dégustez, sans modération !
Chronique illustrée et entière ici
https://vagabondageautourdesoi.com/2025/02/10/pierre-lemaitre-le-soleil-radieux/
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J’ai apprécié nos échanges croisés de lectures, et pour certains, nos connivences d’anciens jurés. J’ai noté où certains continuaient ou continuerons à poster des chroniques. Pour ceux qui n’ont pas indiqués où ils publiaient ou comptaient publier je suis bien évidemment preneur (pascal.tourres@gmail.Com).
En ce qui me concerne j’avais privilégié Lecteurs.com et ne publie qu’épisodiquement sur ma page facebook ou sur le forum des lecteurs Fnac (en rapport avec les prix Fnac d’ailleurs). Si ma fréquence de lecture n’a pas de raison de se réduire, je ne suis pas certain de continuer à publier des chroniques sur toutes mes lectures pour privilégier du temps pour d’autres activités tout autant culturelles.
J’espère néanmoins recroiser certains au fil de ces plateformes et / ou, pourquoi pas, de salons du livre ou des Correspondances à Manosque, …
Bonnes lectures curieuses
Amitiés
Pascal