Beaucoup ont longtemps cherché à concilier la politique et la morale, au lieu de rechercher leur équilibre. Raison pour laquelle leurs tentatives furent soldées par des échecs. Il y a, en l'Homme, une morale illusoire qui aspire en vain à la morale en soi. L'idéal des choses n'est alors qu'un moyen détourné pour parvenir à l'idéal des désirs, loin du sentier de la morale et au coeur du repaire des passions. La morale des désirs, aussi louable ou blâmable soit-elle, constitue en fin de compte la seule morale possible et existante. On n'aspire donc à l'idéal des choses qu'en renonçant à d'autres idéals pour enfin ne s'accrocher qu'à ce qui répond au mieux aux valeurs de nos désirs. Le désir est alors moteur de la morale quand l'idéal des choses n'a jamais existé.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
