80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Arian Leka évoque la mythologie de sa terre natale, l'Albanie, faisant des symboles maritimes le principe agissant de son oeuvre de poète, nouvelliste et romancier. Une fluidité rugueuse s'en détache, parfaitement ajustée à ses êtres intemporels faits d'air, d'eau et de roche - à ces hommes promis au large, mais qu'une nécessité capricieuse maintient cloués au sol.
Le plus important pour le poète n'est pas de se contenter de vivre, mais d'exister pour naviguer. Ainsi pourra-t-il revivre intérieurement, l'espace d'un éclair indicible, l'émotion de l'homme des cavernes face à la mer féminine, cette « patrie liquide en porte-à-faux sur la carte ». Il vise ainsi à mieux comprendre l'homme moderne.
Son oeil chasse des images, poursuite qui lui permet de collectionner des vécus. L'auteur les filtre alors à travers un prisme poétique qui lui est propre, déformant délibérément le réel pour le réformer
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