Envie de suspense ? Voici des romans policiers découverts et recommandés par les amateurs du genre !
Un zoo niché dans une vallée des Pyrénées et, au sommet d'un plateau brumeux, quatre chalets prisés par les touristes en quête de nature. On s'isole ici pour souffler, se retrouver, profiter d'un cadre grandiose. En ce week-end de Toussaint, il y a des femmes, des hommes, un bébé. Il y a même un écrivain. Sept âmes perchées dans les nuages.
Mais quelque chose dissone dans ce décor sans faute. Est-ce le cri lancinant des oiseaux ? L'orage qui vient ? Cet arbre coupé en travers du seul accès menant au village ? L'imagination qui s'emballe ? Car nul n'est censé l'ignorer, un homme s'est suicidé en se jetant dans la fosse aux ours deux ans plus tôt. Et cet acte d'une violence inouïe s'est soldé par la mise à mort de l'animal et la fermeture administrative du parc, rouvert depuis peu.
D'ici quelques heures, des sept, il n'en restera que six, et l'on apprendra la fuite d'un individu dangereux. D'ici la fin de ce qui devait être une parenthèse hors du temps, le paysage idyllique ne sera que le théâtre d'un compte à rebours macabre.
« Nicolas Druart s'installe durablement dans le peloton des meilleurs auteurs de polars français. » La Dépêche du Midi À propos de l'auteurL'Instinct est le cinquième roman de Nicolas Druart après Nuit blanche (Grand Prix du Suspense psychologique, 2018), Jeu de dames (2019), L'Enclave (Prix de l'Embouchure, 2021) et Cinabre (Prix Infiniment Quiberon, 2022).
Sur Cinabre « Il y a du Shining et de la Maison Usher là-dessous. » Le Point, Julie Malaure « Un suspense magistralement maîtrisé. » La Dépêche du Midi, Yves Gabay
Envie de suspense ? Voici des romans policiers découverts et recommandés par les amateurs du genre !
Un roman surprenant qui m’a laissée dubitative quasiment tout au long de ma lecture. Je l’ai trouvé tour à tour extrêmement prenant et presque mauvais, ce qui, il faut l’admettre, est assez contradictoire. Je m’explique : j’ai adoré l’idée du huis-clos et la découverte du petit groupe de personnages a priori très différents les uns des autres, j’ai aimé la superposition des deux chronologies, ainsi que l’ambiance qui s’installe peu à peu et le suspense qui va crescendo. En parallèle, je n’arrivais pas à trouver les dialogues naturels, et surtout, les réactions et actions des personnages me donnaient l’impression d’être dans un très mauvais film d’horreur, chaque décision me semblant improbable, voire grotesque. Et pourtant, impossible de le lâcher, jusqu’à la double révélation finale qui propose une nouvelle lecture de l’histoire et explique en grande partie mes réticences : il me manquait une clé essentielle pour comprendre le déroulé des événements. Alors, certes, la fin semble assez tirée par les cheveux mais l’ensemble fonctionne et mon avis sur ce roman est finalement positif ! J’ai hâte de découvrir d’autres romans de Nicolas Druart.
Le thriller français n’en finit pas de nous offrir des nouveaux représentants. Dans cette vague qui déferle depuis quelques années, j’avais noté Nicolas Druart. Sa venue annoncée à un salon et la perspective de le rencontrer m’ont propulsé sur son dernier né !
Les protagonistes de cette histoire se retrouvent très vite isolés dans un huis clos naturel au cœur de la montagne. Ils viennent tous de lieux différents, ont des passés distincts et n’ont à priori aucun lien entre eux. Et pourtant, plusieurs évènements tragiques vont se succéder et viser cette petite communauté. Une force invisible semble manipuler tout ce petit monde.
Dans cette aventure, il y a un grand nombre de personnages. Il faut donc ne pas trop se disperser afin de ne pas se perdre avec toutes leurs histoires personnelles. Une fois, l’ensemble des éléments maitrisés, vous pourrez vous laisser berner par le scénario machiavélique mis en place par l’auteur. Rythmé par des chapitres très brefs, la narration joue constamment avec nos nerfs. En passant d’un protagoniste à l’autre, elle insinue le soupçon sur l’ensemble du groupe. Chacun devient suspect dès lors que ses actes sont analysés à la loupe par les autres. La paranoïa se propage en même temps que le piège se referme.
J’ai pris un grand plaisir avec ce cluedo sombre plein de rebondissements, à l’intrigue bien ficelée. L’efficacité est au rendez-vous avec un suspense qui m’a gardé sous tension jusqu’à la fin. Si vous aimez le noir et les casse-têtes, cet auteur peut faire votre bonheur !
A la lecture des avis que j’ai vu passés, ce volume n’est pas sa première réussite. Nicolas Druart se révèle par conséquent être un brillant élément de la jeune garde du thriller français qui vient titiller les plus grands. Et moi, un nouveau fan qui vais le suivre de près !
https://leslivresdek79.wordpress.com/2023/10/09/884-nicolas-druart-linstinct/
La découverte d’un auteur à la plume délicieusement mystérieuse et addictive.
Un zoo niché dans une vallée des Pyrénées et, au sommet d’un plateau brumeux, quatre chalets prisés par les touristes en quête de nature. On s’isole ici pour souffler, se retrouver, profiter d’un cadre grandiose. En ce week-end de Toussaint, il y a des femmes, des hommes, un bébé. Il y a même un écrivain. Sept âmes perchées dans les nuages.
Mais quelque chose dissone dans ce décor sans faute. Est-ce le cri lancinant des oiseaux ? L’orage qui vient ? Cet arbre coupé en travers du seul accès menant au village ? L’imagination qui s’emballe ? Car nul n’est censé l’ignorer, un homme s’est suicidé en se jetant dans la fosse aux ours deux ans plus tôt. Et cet acte d’une violence inouïe s’est soldé par la mise à mort de l’animal et la fermeture administrative du parc, rouvert depuis peu.
D’ici quelques heures, des sept, il n’en restera que six, et l’on apprendra la fuite d’un individu dangereux. D’ici la fin de ce qui devait être une parenthèse hors du temps, le paysage idyllique ne sera que le théâtre d’un compte à rebours macabre.
Premier roman que j’ai découvre de Nicolas Druart et c’est un carton plein !
L’auteur a réussi à me plonger au cœur des Pyrénées dans cette atmosphère pesante et angoissante.
Un huit clos certes flippant mais extrêmement bien mené, qui m’a complètement bluffé. Cette ambiance anxiogène ! Whaou c’était quelque chose.
Des rebondissements tout au long de la lecture qui m’ont tenu en haleine, et qui m’ont poussé à m’imaginer mes propres théories.
Mais j’étais tellement mais tellement loin du twist final !!
C’est ce que j’adore dans les thrillers, me faire berner... Et là je dois bien l’avouer, c’était réussi haut la main.
Bref j’ai passé un excellent moment de lecture. Foncez découvrir cet auteur pour les amateurs de thrillers cauchemardesques.
J'ai découvert Nicolas Druart avec ce roman, et c'est une très bonne surprise.
Sept protagonistes vont s'installer pour un week-end de Toussaint dans quatre chalets isolés dans une sombre forêt des Pyrénées, à proximité d’un parc animalier. En parallèle, il y a l'évasion de l'Ogre catalan, qui pourrait à nouveau tuer.
Les chapitres sont courts et bien rythmés et alternent les points de vue des différents personnages, avec des retours dans le passé.
Le lecteur baigne dans une atmosphère sombre, oppressante, glauque, inquiétante, où la tempête fait rage.
L'auteur nous tient en haleine jusqu'au rebondissement final inattendu.
Un très bon thriller.
Un parc animalier dans une vallée retirée des Pyrénées. Sept personnes qui ne se connaissent pas se retrouvent pour le week-end d'Halloween 2021, locataires de chalets isolés, coupés du monde, sans téléphone. Alors que chacune venait chercher un moment de détente, c'est l'horreur qui s'abat sur elles pendant deux jours terrifiants, là où deux ans auparavant, jour pour jour, un homme s'était suicidé en se jetant volontairement dans la fosse aux ours où il fut tué.
La couverture avec cette chaise vide au milieu de nulle part, dans la brume, nous prévient déjà que nous n'allons pas aborder un "feel good", impression très vite confirmée dès les premières pages.
L'atmosphère angoissante est renforcée par un temps d'apocalypse : pluies, inondations, orages, arbres abattus, glissements de terrain. La nature est hostile, de plus en plus terrifiante au fur et à mesure que les disparitions se succèdent. du rythme, de la tension, du suspense, de nombreuses fausses pistes où le/la lecteur/trice s'embourbe, tout ce qui m'emballe dans un thriller/polar même s'il y a un peu trop d'hémoglobine à mon goût de petite lectrice sensible. le final est un vrai festival de surprises et on tombe des nues face aux retournements de situation.
Mais ce thriller aborde aussi, en toile de fond, la problématique des zoos, des animaux en captivité pour le plaisir des humains et expose les arguments des pro et des contre sans en faire une tribune politique.
Enfin, je m'interroge sur la mention en bandeau sur la couverture : "On ne naît pas ogre, on le devient" qui n'est pas une phrase du roman ou alors elle m'a échappé. Elle pastiche le fameux "On ne naît pas femme, on le devient"; est-ce à dire que la maison d'édition Harper Collins établit un parallèle entre "ogre" et "femme" !!!!!!!!!! Je plaisante, bien sûr. Quoique...........
Je découvre Nicolas Druart avec ce roman et je ne m'arrêterai pas en si bon chemin.
Dans un petit village niché d'une vallée reculée des Pyrénées, au sommet d'un plateau brumeux, sept individus qui n'ont rien en commun et ne se connaissent pas, décident de louer les chalets pour le week-end de la Toussaint. Seulement, ce décor idyllique semble cacher quelque chose de sombre et dangereux. De mystérieux hurlements se font entendre, des objets bougent, un individu semble les espionner, etc. Rapidement, la peur s'installe, les esprits s'emballent, d'autant plus qu'un tueur est en cavale, que le zoo avait été le théâtre d'un drame quelques années plus tôt et qu'une première disparition a lieu. C'est le début d'un compte à rebours macabre.
C'est mon premier livre de Nicolas Druart. J'avais lu beaucoup de bonnes critiques et en attendais donc beaucoup. Dès les premières pages, j'ai été totalement happée par cet angoissant huis clos, lu en à peine une journée (je me suis couchée très tard pour finir ce thriller totalement addictif). J'ai été séduite par l'écriture incisive et très visuelle de l'auteur qui m'a donné l'impression de regarder un slasher. Les chapitres courts alternent les points de vue des différents personnages, contribuant à créer un suspense haletant et à faire délicieusement monter l'angoisse jusqu'à un final en apothéose, avec une mention spéciale pour un rebondissement que j'ai particulièrement apprécié.
L'ambiance fait penser à un film d'horreur : l'atmosphère est lugubre à souhait, les personnages semblent tous avoir quelque chose à cacher, le trou perdu très vite coupé du monde, les bêtes sauvages qui rodent, l'Ogre catalan, une tempête, etc. Tous les ingrédients sont réunis pour frissonner. J'ai tout simplement adoré cette lecture, même si je ne verrai plus jamais les Pyrénées de la même manière...
Après vous avoir parlé un peu plus tôt ce mois-ci de Chrystel Duchamp, dont j’attends les livres avec impatience chaque année, il y a un autre auteur francophone qu’il me tarde aussi de lire dès que ses nouveaux livres paraissent ; il s’agit de Nicolas Druart. J’avais eu un énorme coup de cœur pour son troisième roman, « L’enclave » et depuis, je l’ai ajouté à ma liste des auteurs à suivre en matière de littérature noire.
Alors aussitôt commencé son dernier bouquin, « L’instinct », aussitôt j’ai été happée par une faille spatio-temporelle qui m’a empêchée de faire toute autre chose que de poursuivre ma lecture ! Autrement dit, je l’ai adoré ? Il est impossible à lâcher et heureusement pour moi, je l’ai débuté dès mes premiers jours de congé. Sinon, cela aurait été l’insomnie littéraire à coup sûr !
Digne des meilleurs écrivains de littérature noire, Nicolas Druart nous emmène dans une vallée des Pyrénées, où est niché un petit village avec un zoo qui accueillent les touristes en quête d’aventures, pouvant loger au plus près de la nature. A l’occasion du week-end de la Toussaint, sept individus qui ne se connaissent pas vont vivre un séjour cauchemardesque.
Page-turner dès les premiers chapitres, cette histoire m’a séduite en quelques pages seulement mais surtout, m’a conquise jusqu’à la dernière page. Avec une écriture très visuelle, ce livre fait vivre l’histoire à ses lecteurs comme s’ils y étaient, les faisant frissonner à bien des égards. Le style très fluide accroche et maintient son lectorat en plein suspens, montant crescendo avec un final en apothéose.
Sans vous en révéler la teneur car cela vous gâcherait tout le plaisir (j’en suis certaine), il y a un élément présent dès le début qui vous surprendra à la toute fin et vous risquez de tomber de votre siège ou de votre divan, tout dépend où vous lirez ce livre. Nicolas Druart vous aura sûrement, comme je l’ai été, TOTALEMENT baladée. J’en tire mon chapeau.
Ce thriller est une bombe ! Vraiment, je ne peux que trop vous le conseiller très vivement. Il est et restera l’un de mes meilleurs moments de lecture de l’année 2023. Je vous en parle bientôt dans le podcast mensuel de Bepolar.
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