Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...
Dans L'Homme qui marchait avec moi, Claude Margat nous livre, sous forme de récit initiatique, la quête d'unité existentielle qu'il recherche dans la peinture et le Tao. Un homme se souvient, au vu d'un cliché quelques années avant sa mort, de l'ami qui l'accompagnait dans ses déambulations à travers le marais poitevin. Comment était née cette amitié ? Qu'est-ce qui s'était noué, au fil de marches dans les bois, à l'écoute des oiseaux, dans le silence, entre ce professeur de dessin, rebelle, frustré par l'enseignement qu'il devait donner à ses élèves, et l'homme qui dit « je » dans le récit, artiste et écrivain, à la recherche d'une harmonie entre le corps et l'esprit ? L'amitié se noue dans le rythme de la marche, dans un corps à corps avec la nature qui régénère les deux hommes, jusqu'au jour où, soudain, le professeur s'éprend d'une passion violente pour l'une de ses élèves.
Très beau livre de méditation sur le sens de la vie, de l'amour, sur les contradictions insolubles que l'on affronte et qui, parfois, vous détruisent.
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