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Si les questions du Bien, comme celles propres à l'éthique sont évidemment au coeur de l'oeuvre d'Emmanuel Levinas, le Beau, comme tout ce qui touche à l'esthétique, a un statut particulier que David Gritz se propose de mettre en valeur. À première vue, dans l'oeuvre d'Emmanuel Levinas, le beau ne semble pas une question riche en problèmes. Le philosophe donne certes une place
au Beau, mais c'est peut-être une façon de se défaire de la tâche de le penser. Non par paresse ou par manque de sensibilité mais pour éviter, comme il le dit, de lâcher la proie pour l'ombre. Donner une place au Beau, c'est le contenir dans son éclat d'image, de sorte que sa fulgurance ne fascine pas le sujet au point qu'il se déroberait à la révélation du visage ... Dans La Réalité et son ombre, le philosophe expose sa thèse avec une apparente grande sévérité : sans condamner l'art, il montre toutefois qu'il est voué à un silence
ontologique que seule la parole critique peut sauver.
Ultérieurement toutefois Levinas reviendra sur cette première analyse
puisqu'il parlera du mensonge et de la grandeur propres à l'art qui cherche à donner un visage aux choses.
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