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Dans ses « Lettres à une Muse » regroupant en trois tomes près de 700 poèmes en vers, Michel Bourgeois nous invite comme il le fait depuis plusieurs années dans ses romans, à voyager avec lui au coeur de l'univers fantasmagorique de la poésie, ici au travers de la relation si particulière existant entre le poète et sa ou ses muses, ces femmes mystérieuses qui, depuis l'aube des temps, incarnent l'inspiration. L'amour vaut-il, sans passion ? La poésie peut-elle exister sans démesure ? N'est-elle pas qu'une forme de folie, que l'art embellirait ?
Comme dans « le Voleur de Nuits », c'est à la recherche d'une réponse à ces questions, que l'auteur vous convie.
« Nu Alors que je cherchais dans un coffre grinçant Traces non apocryphes d'un lointain passé, Mon regard accrocha l'espace d'un instant Une lourde enveloppe à la cire, cachetée.
Après avoir chassé d'un souffle la poussière Qui avait teint en gris la pochette assoupie, J'ouvris avec respect, un genou mis à terre, Cette étrange relique à peine décatie.
J'y découvris, ému, non moins de mille pages Contenant des poèmes et des lettres d'amour, Quelques-unes datées, le plus souvent, sans âge, Critiques du jamais, éloge du toujours.
Un homme, un inconnu, racontait en rimant Qu'il avait un beau jour du côté d'Aqaba Rencontré une fée au sourire charmant Qu'il, avec passion, toute sa vie aima. ».
Bon voyage à toutes et à tous.
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