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En quoi l'être et le crime sont-ils liés l'un à l'autre ? Comment des catégories existentielles, telles que la liberté et le destin, la culpabilité et la faute, peuvent-elles constituer le berceau dans lequel l'âme criminelle ira se réfugier ou dont elle tentera de s'évader ? En fait, nous ne pouvons saisir l'être du criminel qu'en décortiquant les conditionnements et les présupposés d'ordre existentiel qui l'ont influencé, plus ou moins directement, de manière à lui faire préférer des actions criminelles à des actions légales. Sans une telle analyse existentielle, nous ne saisissons que la surface du phénomène de la criminalité.
C'est cette analyse que propose Michel Dion, en s'appuyant, de manière très originale, sur l'oeuvre d'écrivains aussi distincts que Fedor Dostoïevski, Oscar Wilde, William Faulkner, Truman Capote et Paul Auster. Une certaine conception de la condition humaine en ressort et est ainsi présentée comme l'arrière-fond sans lequel ce qui est dit sur le crime et les criminels serait à la fois inopérant et inintelligible.
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