Cette étude confirme l'idée selon laquelle un grand groupe, fortement engagé en faveur de l'environnement et poursuivant une stratégie axée sur la différenciation, aura tendance à opter pour une stratégie d'intégration. Cela est d'autant plus probable lorsque : la distance culturelle séparant les filiales de la société mère est faible, la situation financière des filiales est équilibrée et les procédés de production des filiales sont polluants. En outre, la stratégie d'intégration est favorisée dans un contexte de faible concurrence. Bien qu'elle doive être complétée, cette étude pose les bases d'une possible comparaison des stratégies environnementales d'acquisition des firmes multinationales. Grâce à elle, nous pouvons désormais distinguer les entreprises réellement proactives de manière à mieux percevoir les bonnes pratiques et faire en sorte de les développer. Cela compte étant donné l'impact environnemental de ces firmes à travers le monde.
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