80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« Ce qui m'a épaté quand je suis arrivé dans le camp de transit de Munich, c'est l'appellation Faux-Blanc qu'on servait à tous les Européens de l'Est qui vivaient avec nous dans ce camp. La première fois, cela m'a fait tellement pouffer de rire que je n'en revenais pas. J'ai expliqué à certains frères que cette expression prêtait à confusion et n'avait surtout aucune signification. Soit on est Blanc soit on ne l'est pas. On ne peut pas être un Faux-Blanc... » « Ce livre est une illustration de la face cachée de l'immigration où le personnage est confronté à la sorcellerie... C'est aussi une invitation de son auteur à réfléchir sur des questions métaphysiques telles que les croyances, l'occultisme, les veillées nocturnes des sorcières « dans un monde dit civilisé ». Extrait de la préface de Didier AMELA
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