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CeCe d'Aplièse ne s'est jamais vraiment sentie à sa place. Et à la suite du décès de son père adoptif, l'excentrique milliardaire Pa Salt - surnommé ainsi par ses six filles, adoptées aux quatre coins du monde - elle se retrouve complètement perdue.
Désespérée, n'ayant que les quelques indices laissés par son père, CeCe part à la recherche de ses origines... jusque dans la chaleur et la poussière du centre rouge de l'Australie.
Quel est son lien avec Kitty McBride, la fille d'un pasteur écossais qui a vécu là-bas il y a plus d'un siècle ?
Alors que CeCe découvre des secrets enfouis depuis bien longtemps, elle commence à penser que ce vaste et sauvage continent pourrait lui offrir quelque chose qu'elle a toujours cru impossible : un sentiment d'appartenance et un foyer...
La soeur à la perle quatrième tome de cette saga des Sept sœurs, nous emmène en compagnie de Cece l'une des soeurs qui n'a pas une grosse cote de sympathie, comme pour les autres tome on plonge dans une nouvelle quête à la recherche des origine d'une autre des sept soeurs, en parallèle on retouvera aussi Kitty.
Écosse, Thaïlande et Australie on voyage.
On découvre Cece sous un autre jour, les personnages sont attachants et agaçants, les intrigues sont captivantes, il y a du suspense et des rebondissements. Toujours quelques longueurs mais toujours palpitant de découvrir de ce tome.
"L'amour est à la fois le sentiment le plus égoïste et le plus désintéressé qui soit, Célaéno, et ses deux facettes ne peuvent être séparées. Le besoin de l'autre lutte constamment contre notre désir de le voir heureux. Ainsi, malheureusement, on ne peut rationnaliser l'amour et personne n'échappe à son emprise, crois-moi."
J’ai adoré !
Un beau pavé que j’ai dévoré, et j’avoue ne pas avoir vu les pages défiler !
Comme beaucoup de personnes (j’ai l’impression), Cece était une des sœurs qui m’attirait le moins.
Son caractère dépeint dans les précédents tomes ne me plaisait pas trop, et puis finalement, une fois qu’on la connaît, c’est une tout autre histoire.
Elle s’est forgée une sacrée carapace !
Un plaisir d’alterner les deux époques et de découvrir les différentes générations de cette famille.
D’ailleurs ça m’a beaucoup ému la rencontre avec son grand-père !
Même si j’aime énormément chacun des tomes, qu’à chaque tome, j’ai l’impression d’aimer encore plus, je trouve que le schéma est vraiment répétitif.
Je continuerais la saga, parce qu’évidemment les tomes qui m’intriguent le plus sont les deux derniers, La sœur disparue et L’histoire de Pa Salt, mais c’est quand même des gros pavés très similaires, même si chaque sœur est différente.
Malgré mon amour pour cette saga, j'appréhendais ma lecture de ce quatrième tome car le peu que j'avais entraperçu du personnage de CeCe jusqu'à présent ne me l'avait absolument pas rendue sympathique. Eh bien, je n'aurais pas pu plus me tromper ! CeCe est en réalité une héroïne extrêmement attachante qui cache bien son jeu, ou plutôt ses sentiments. Personnage très introvertie et manquant de confiance en elle, il peut être facile de la juger sans la connaître, je suis d'ailleurs la première à l'avoir fait. J'ai adoré suivre son évolution et sa quête identitaire qui nous emmène tout droit en Australie et dans les communautés aborigènes. Son récit, sous le signe du pouvoir salvateur de l'art et du métissage culturel et de l'acceptation de cet héritage, était tout bonnement passionnant et poignant. Mon tome favori de la saga pour le moment (oui, au-dessus du trois que j'avais déjà tant adoré), c'est dire mon agréable surprise avec ce volume !
Le 4ème tome de la saga des 7 sœurs
Au tour de Cece de partir à la recherche de ses racines, les indices laissés par Pa Salt l'envoient en Australie mais elle décide de commencer son voyage par la Thaïlande.
Alors là ! Immense surprise, je m'attendais à ne pas forcément aimer ce tome car Cece était une des sœurs que j'aimais le moins jusqu'à maintenant. Et bien figurez-vous que ce livre devient mon préféré !
Je l'ai absolument dévoré, j'ai aimé l'histoire de Cece et celle de son aïeule ! Les deux sont passionnantes et les romances sont originales et je n'ai eu aucune impression de répétition par rapport aux tomes précédents.
Le personnage de Cece se révèle touchant et on comprend bien mieux son attitude renfrognée et surprotectrice envers Star.
La description des paysages thaïlandais et australiens m'a conquise et bien fait voyager. Je suis vraiment très heureuse de lire cette saga et j'ai trop hâte de continuer et de voir ce que nous réserve la suite.
Star est partie, CeCe se retrouve seule, un nouveau membre amputé. Comment va-t-elle faire sans sa sœur alter-ego, ce double qui l'a pourtant complété toute sa vie.
Loin de se laisser abattre, elle décide de vivre enfin sa vie et de partir seule à l'aventure et quelle aventure !
La quatrième sœur nous emmène à la découverte de l'Australie et y suit les traces laissées par Pa Salt.
Qu'y découvrira t elle? Quel secret entoure ses origines ?
Un quatrième tome à l'image des précédents : addictif, prenant et émouvant.
"Sauf que cette fois-ci, Star n'était pas avec moi et que je ne partais pas à l'autre bout du monde pour voyager, mais pour fuir."
Perdue au milieu de ses pensées.
Lumière au-dessous de l'avion.
Elle a l'impression de voir le monde à l'envers.
Elle se sent seule.
CeCe.
Lorsqu'elle a appris la mort de son père, elle a fait la forte pour s'occuper sa sœur Star.
CeCe se surprend à parler à son père, il lui manque plus qu'elle ne l'aurait pensé.
Elle a des croyances spirituelles.
Elle ressent comme un vide.
Elle aime sa sœur Star plus que tout.
Elle se trouve laide et inutile.
Les motivations de son père sont toujours aussi étranges.
Elle se trouve à un carrefour de sa vie.
Elle sera mise sur la voie de sa famille biologique.
Elle croisera entre autres un mystérieux et solitaire personnage.
Créer, recréer la beauté.
Se plaire à soi-même.
S'apprécier.
Éprouver de l'enthousiasme pour les choses.
Être sereine.
Se sentir à sa place.
Écrire sa propre histoire.
Lâcher prise.
Avoir confiance.
S'appartenir à soi-même.
Se débarrasser de sa peur.
Prendre le temps pour vivre sa vie.
Ne pas s'appesantir sur le passé.
S'aider soi-même.
Suivre sa propre route.
CeCe, la talentueuse.
De toute la série, c'est mon tome préféré.
C'est un vrai patchwork d'émotions et d'imagination.
C’est devenu une petite routine pour moi, tous les mois, j'ai rendez-vous avec Lucinda Riley et surtout avec les sœurs d'Aplièse. Et j'aime énormément ce rendez-vous, je retrouve les sœurs comme des amies, je prends des nouvelles, je me suis beaucoup attachée à elles, et plus les tomes passent, et plus je les aime.
Je rappelle pour ceux qui ne connaîtraient pas cette saga, les sœurs d’Aplièse sont six, on ne connait pas la septième encore, elles ont toutes été adoptées par Pa Salt, un milliardaire énigmatique. Il est allé les chercher dans différents pays du monde. À la mort de Pa Salt, dans des conditions tout aussi énigmatiques, il laisse à chacune de ses filles une lettre et des coordonnées GPS pour les aider à retrouver leurs origines. Maia, la sœur aînée, s'est ainsi retrouvée à chercher au Brésil sur les traces du concepteur du Christ Rédempteur, Ally, la seconde sœur, en Norvège avec des parents musiciens célèbres, Star, la troisième, en Angleterre, avec une écrivaine célèbre. Nous suivons ici CeCe, Célaéno, la quatrième.
On avait quitté CeCe à la fin du tome précédent, assez bouleversée par le départ de Star et son installation avec sa famille. Il faut dire que ces deux sœurs là sont inséparables depuis toutes petites. Elles ont tout le temps été ensemble et partageaient tout. C’est donc assez dur pour Cece de se retrouver seule. Elle ressent même une certaine jalousie envers sa sœur d’avoir trouvé ses origines et une nouvelle famille. Les coordonnées et la lettre laissés par Pa Salt vont emmener CeCe en Australie. Elle fait tout d'abord un petit séjour en Thaïlande où elle rencontre un homme mystérieux. Arrivée en Australie, elle découvre un pays totalement différent de ce qu’elle imaginait mais qui correspond à son âme d’aventurière et de baroudeuse. Pa Salt parle dans sa lettre d'une certaine Kitty Mercer, qui aurait vécu en Australie au début du 20ème siècle. CeCe va partir à sa recherche. Le gros souci de Cece est qu'elle est dyslexique et a beaucoup de mal pour lire, elle aime s'exprimer à travers le dessin. Cela la complexe énormément. Heureusement, elle va faire des rencontres qui vont lui permettre de faire le jour sur ses origines.
Et donc on suit également la vie de Kitty, cent ans auparavant. Elle est fille de pasteur et vit en Écosse. Elle est l’aînée de la fratrie et aime aider sa mère, même si elle rêve d'aventures. Elle risque bien d'en avoir plus vite qu'elle ne le pense, car une riche veuve, Madame McCombrie part en Australie voir sa sœur, et elle a besoin d'une dame de compagnie. Le père de CeCe propose donc à Kitty d'y aller. C’est une chance que la jeune fille saisit, même si elle a beaucoup de mal à quitter sa mère. Kitty va faire la connaissance là-bas des neveux de Madame McCombrie, Andrew et Drummond, qui ont la particularité d’être jumeaux. Ils se ressemblent physiquement comme deux gouttes d'eau, mais sont de caractères opposés. Andrew est posé, a le sens des affaires, Drummond est beaucoup plus aventurier. Kitty va se marier avec l'un d'eux, même si son cœur balançait pour l'autre. On va ainsi la suivre tout au long de sa vie, et deviner peu à peu quels sont ces liens avec CeCe.
J’ai une fois de plus beaucoup aimé suivre ces deux femmes à un siècle d'écart. Kitty est une femme de caractère, en avance sur son époque. Elle ne supporte pas la façon dont sont traités les gens de couleur, elle aidera une jeune femme noire, qui deviendra sa protégée et sa fidèle amie. Kitty devra faire face à des drames qui feront qu'elle devra elle-même devenir chef d’entreprise. CeCe est épatée par ce qu'elle découvre sur cette femme et se demande surtout qui elle peut être pour elle. Ses recherches vont la mener sur les traces de grands peintres australiens de cette époque, Albert Namatjira ou Clifford Possum, qui ont réellement existé. CeCe retrouve avec eux des similitudes pour son amour pour la peinture qui est, pour elle, la meilleure expression qui soit. C’est cela aussi que j'aime dans cette saga, chaque tome nous amène vers un personnage qui a réellement existé et qui a marqué son époque à sa façon. Je m'amuse à chaque fois à faire des recherches sur le net, cela est très enrichissant, et là, j'ai pu admirer les peintures de ces artistes sur les paysages du bush australien, avec les belles couleurs rouges et les bois blancs des arbres.
Je me suis aussi régalée par le magnifique voyage que j'ai fait en Australie. C’est un pays qui me fait un peu peur par son côté très sauvage encore, les insectes, serpents et autres animaux de ce genre ont des tailles qui m'impressionnent et me font peur. D'ailleurs CeCe est un peu comme moi avec les araignées. Par contre, je suis fascinée par ce pays et par ses couleurs, la densité de ses villes et le grand vide de ses déserts. C’est un pays aux paysages très contraires. Lucinda Riley a très bien dépeint les paysages et l'ambiance qui y règne, j'ai très bien réussi à ressentir la chaleur étouffante, le sable qui colle sur la peau. Je m'y suis vraiment cru. Comme dans chaque roman, l'autrice a le souci du détail qui fait qu'on arrive très bien à s'imaginer ce qu’elle décrit. Elle explique d'ailleurs dans une note à la fin du livre qu’elle ne connaissait pas ce pays et qu'elle s'y est rendue elle-même pour mieux s’imprégner de lui, de son ambiance, de ses couleurs. Elle aussi a peur des araignées, avait des préjugés et elle a été ravie de ce qu’elle y a découvert. En lisant cela, j'ai compris qu'elle avait mis un peu d'elle dans les appréhensions de CeCe. Et surtout j'ai mieux compris la précision des descriptions.
Je me suis très vite attachée à Kitty. Pour ce qui est de CeCe, j'y allais au début avec quelques aprioris par rapport à ce que j’avais vu d'elle dans les précédents tomes. Elle me semblait froide et distante, et je n'avais pas trop aimé sa réaction dans le précédent tome avec sa sœur Star. C'était même celle qui m'indisposait le plus lors de la mort de Pa Salt. Mais j’ai appris à mieux la connaitre ici avec ce tome, j’ai compris pourquoi elle se comportait comme cela, et j’ai fini par beaucoup l’apprécier. Je ne pourrais pas encore vous dire quelle est ma préférée dans ces quatre sœurs, elles ont toutes des qualités que je respecte. Je suis en tout cas, agréablement surprise par ce tome sur CeCe.
Je n'ai toujours rien à dire sur le style de Lucinda Riley, toujours aussi bon, toujours aussi bien travaillé. Il est vrai que tous les tomes sont pour l’instant construits de la même façon, une partie recherche au présent, et une partie historique dans le passé. Cela pourrait sans doute être lassant si on lit les livres à la suite, mais comme j’espace les tomes d'un mois environ, cela ne me dérange pas du tout. Au contraire, je suis friande de ce genre de construction. Je trouve que cela amène beaucoup de rythme à la lecture et une certaine addiction. Quand on quitte l'une des deux femmes, on a vite envie de la retrouver.
L'attachement est renforcé par le choix narratif de l'autrice à la première personne du singulier. Je suis très sensible à ce « je » qui me permet de mieux ressentir les émotions, de rentrer dans la tête du personnage et d’être au plus près de lui tout le long de ma lecture. J’ai été très touchée par l'histoire et le vécu de CeCe et Kitty, et je les ai quittées avec regret.
Je pense que vous l'aurez compris en lisant cette longue chronique, je me suis régalée avec ce quatrième tome, j'ai fait grâce à lui un très beau voyage, dépaysant, qui fait oublier le quotidien. Le livre a beau être un petit pavé de plus de 500 pages, je l'ai lu assez rapidement tellement il était addictif, j’étais pressée de retrouver mon livre et j'avais beaucoup de mal à le quitter.
Je ne peux, bien entendu, que vous conseiller la lecture de cette saga, si vous aimez les histoires de famille, l'Histoire artistique ou culturelle, le dépaysement et les voyages dans d'autres pays, ces livres sont faits pour vous. De mon côté, je vais vite réserver le cinquième tome à ma médiathèque, celui-ci doit porter sur la cinquième sœur, Tiggy, qui est très mystérieuse pour moi. À voir ce qu'elle va nous réserver. Tous ces livres sont des emprunts à ma médiathèque, je compte bien me les procurer afin de les avoir dans ma bibliothèque pour pouvoir les relire ou les feuilleter.
Je me suis plongée avec délice dans ce quatrième tome de la saga des sept sœurs qui devrait en compter huit au final (malgré le décès de l'autrice, survenue en juin, le roman qui clôturera la saga devrait voir le jour, co-écrit avec son fils aîné si mes sources sont fiables).
Depuis quelques années, je lisais un roman de cette saga par an mais j'ai eu du mal à trouver du temps pour sortir celui-ci de ma PAL. Déjà, parce que cette dernière dégueule littéralement, aussi parce que j'emprunte ces derniers mois beaucoup de livres à la médiathèque et que je lis ceux-là en priorité. Et il faut bien aussi l'avouer, la sœur dont il est question ici est celle qui me plaisait le moins dans les premiers tomes, j'y allais donc quelque peu à reculons même si je savais que j'allais bien entendu finir par le sortir. Et comme les trois premiers opus, j'ai passé un excellent moment de lecture même si ce tome-ci est celui qui m'a pour le moment le moins plu (mais ça se joue vraiment à pas grand chose). Et ce n'est pas parce qu'il s'agissait de la sœur que j'aimais le moins, au contraire, j'ai pris plaisir à la découvrir sous un autre jour, mais parce que l'histoire dans le passé m'a tout simplement un peu moins emballée que les précédentes, et aussi parce que j'ai trouvé ce tome quelque peu bâclé sur sa fin.
Si vous lisez ce billet, vous devez déjà connaître en quoi consiste cette saga, voire vous avez déjà entamé, même terminé, de la lire. Ce tome ne diffère pas des autres dans le sens où Cece va partir à la recherche de ses origines et nous allons alternativement suivre son histoire et celle d'une de ses ancêtres. Nous voici embarquer en Australie cette fois-ci, plus précisément dans l'outback australien, là où la terre est faite de sable rouge, où la température frôle les 45 degrés toute l'année. Vous avez demandé de l'aventure et du dépaysement, on vous donne de l'aventure et du dépaysement.
Cette saga j'y retourne toujours avec plaisir, ayant l'impression de revenir vers quelque chose de confortable.
Cela se lit vite et bien malgré qu'il s'agisse toujours de bonnes grosses pavasses, et j'apprécie surtout les recherches préalables qu'a engagées l'autrice pour donner du réalisme à son récit.
En résumé, une de mes sagas chouchou, doudou, une lecture très sympa que je ne me lasse pas de faire.
Lu en juin/juillet 2021
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