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"S'il pouvait y avoir un remède vraiment préservatif de la contagion vénérienne, il faudrait l'accueillir comme un bienfait, et l'adopter avec empressement ; non pour favoriser le libertinage, mais pour garantir de ce fléau destructeur les tristes et innocentes victimes qui paraissent y être dévouées dès leur naissance, ou assujetties par leur situation et leur état".
Ce court texte nous retrace L'histoire du préservatif où il nous est rappelé que dès le XVIe on voit apparaître la première tentative dans ce sens. Vers 1555 en effet Gabriel Fallopio consacre déjà un chapitre aux préservatifs du mal français. Relevant à la fois du traité médical et de l'observation clinique, l'auteur nous fait découvrir les différentes étapes qui ont permis de mettre au point un objet singulier pour un usage confortable. Décrivant à la fois les procédés et les matières pour le fabriquer.
Ce texte paru au début du XXe siècle chez Les Amis d'Edouard, malgré des apparences littéraires quelque peu badines liées à l'époque et au style de la collection, est véritablement prophétique, et on ne peut s'empêcher en le lisant plus de cent après sa parution de songer à la situation dramatique causée de nos jours par le sida.
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