80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
À une époque où religion se confond trop souvent avec politique, le roman d'Alain Melka, Les
Larmes d'Abraham, nous propose un faux dialogue épistolaire à une voix entre le narrateur et son
vieil ami Abraham, vieux fou mythomane ou véritable prophète.
Peinture sans concession et constat sans appel, réflexions sur l'émergence de chacune des religions
monothéistes, de l'aube au crépuscule, les sept lettres d'Abraham n'inventent pas un discours
théologique mais le constatent. Ces lettres transposent les errements du passé au devenir dépassé,
afin de proposer à nos contemporains une autre voie : l'espace qui s'élargit ou se rétrécit.
Dans le contexte émotionnel et politique de la déconctruction-reconstruction du Proche-Orient, le
roman d'Alain Melka apporte un éclairage neuf sur la problématique religieuse qui entourne la
perception de l'État d'Israël et du message postbiblique. En fait, l'auteur nous propose une
étonnante relecture des textes sacrés au travers de l'aventure singulière d'un anti-héros qui
ressemble à chacun de nous.
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