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Les Heures de Verre est le premier album d'Alice Lorenzi paru une première fois en octobre 2005. Un album particulièrement attendu. C'est que cette jeune auteure n'était alors pas tout-à-fait une inconnue. Une petite auto-publication photocopiée avait été remarquée, par sa singularité, la beauté étrange de ses dessins et la force de ses textes : In de Vleestuin. Depuis, les planches d'Alice débordent des fanzines liégeois et enrichissent bon nombre de revues : Mycose, Julius et Marinette, Ferraille... Lorsqu'un travail original impose ainsi sa pertinence, avec une telle évidence, on peut parler d'exception. C'était arrivé, peut-être, avec Aristophane, Frédéric Coché ou Debbie Dreschler.
Les Heures de Verre est une oeuvre poétique et plastique foi-sonnante, irréductible à un discours, truffée de références, explicites ou implicites, à la mythologie et à l'histoire de l'art. Qu'on ne s'y trompe pas, il ne s'agit pas d'un univers érudit et abstrait : ce labyrinthe est peuplé de dé-mons bien réels.
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